Текст и перевод песни Juliane Werding - Sehnsucht ist unheilbar (Live)

Sehnsucht ist unheilbar (Live)

Als sie in den Spiegel sah
Eines morgens, sonderbar
Da erkannte sie sich nicht
Dreißig Jahre im Gesicht
Ehrlich, doch es passte nicht
Weil ihr Herz erst siebzehn war
Sie wollte nie ein, Nein" akzeptiern
Sie wollte nie die Neugier verliern
Und noch immer sah sie sich im Cabrio fahrn
Mit dem Wind im offenen Haar
Sehnsucht ist unheilbar
Abends fernsehn, morgens raus
Nachbarklatsch im Treppenhaus
Jede Stunde abgezählt
Einkaufsfahrt im Supermarkt
Kochen, bügeln - Tag für Tag
War das wirklich ihre Welt?
Sie wollte nie ein, Nein" akzeptiern
Sie wollte nie die Neugier verliern
Und noch immer sah sie sich im Cabrio fahrn
Mit dem Wind im offenen Haar
Sehnsucht ist unheilbar
Als er heimkam letzte Nacht
War sein Essen nicht gemacht
Und sie stand nicht an die Tür
Er hat den leeren Schrank gesehn
Und ohne wirklich zu verstehn
Las er diesen Brief von ihr:
"Ich werde nie ein 'Nein' akzeptiern
Ich möchte nie die Neugier verliern
Und noch immer seh ich mich im Cabrio fahrn
Mit dem Wind im offenen Haar
Wart nicht auf mich
Denn Sehnsucht ist unheilbar
Wart nicht auf mich
Denn Sehnsucht ist unheilbar"
Sehnsucht ist unheilbar
Sehnsucht ist unheilbar

Le désir est incurable (Live)

Quand elle se regarda dans le miroir
Un matin, étrangement
Elle ne se reconnaissait pas
Trente ans sur son visage
Sincèrement, mais ça ne collait pas
Parce que son cœur avait dix-sept ans
Elle ne voulait jamais accepter un "Non"
Elle ne voulait jamais perdre sa curiosité
Et elle se voyait encore conduire en décapotable
Le vent dans ses cheveux
Le désir est incurable
Regarder la télé le soir, sortir le matin
Potins de voisinage dans la cage d'escalier
Chaque heure comptée
Courses au supermarché
Cuisiner, repasser - jour après jour
Était-ce vraiment son monde ?
Elle ne voulait jamais accepter un "Non"
Elle ne voulait jamais perdre sa curiosité
Et elle se voyait encore conduire en décapotable
Le vent dans ses cheveux
Le désir est incurable
Quand il est rentré la nuit dernière
Son repas n'était pas prêt
Et elle n'était pas à la porte
Il a vu l'armoire vide
Et sans vraiment comprendre
Il a lu cette lettre d'elle :
« Je n'accepterai jamais un "Non"
Je ne veux jamais perdre ma curiosité
Et je me vois encore conduire en décapotable
Le vent dans mes cheveux
Ne m'attends pas
Car le désir est incurable
Ne m'attends pas
Car le désir est incurable »
Le désir est incurable
Le désir est incurable