Текст и перевод песни Julio Sosa - Dicen Que Dicen
Dicen Que Dicen
Dicen Que Dicen
Vení,
acercáte,
no
tengas
miedo,
Viens,
rapproche-toi,
n'aie
pas
peur,
Que
tengo
el
puño,
ya
ves,
anclao.
Je
tiens
mon
poing,
tu
vois,
bien
serré.
Yo
sólo
quiero
contarte
un
cuento
Je
veux
juste
te
raconter
une
histoire
De
unos
amores
que
he
balconeao.
D'amours
que
j'ai
vécues.
Dicen
que
dicen,
que
era
una
mina
On
dit
que
l'on
dit,
qu'elle
était
une
femme
Todo
ternura,
como
eras
vos,
Toute
tendresse,
comme
tu
l'étais,
Que
jué
el
orgullo
de
un
mozo
taura
Que
c'était
la
fierté
d'un
jeune
homme,
De
fondo
bueno...
como
era
yo.
Au
fond
bon...
comme
je
l'étais.
Y
bate
el
cuento
Et
l'histoire
continue
Que
en
un
cotorro
Dans
une
petite
maison
Que
era
una
gloria
vivían
los
dos.
Où
ils
étaient
heureux
tous
les
deux.
Y
dice
el
barrio
que
él
la
quería
Et
le
quartier
dit
qu'il
l'aimait
Con
la
fe
misma
Avec
la
même
foi
Que
puse
en
vos.
Que
j'ai
eue
pour
toi.
Pero
una
noche
Mais
une
nuit
Que
pa′
un
laburo
Pour
un
travail
El
taura
manso
Le
jeune
homme
doux
Se
había
ausentao,
S'était
absenté,
Prendida
de
otros
Enflamée
par
d'autres
Amores
perros
Amours
sauvages
Se
le
había
alzao.
S'était
enfuie.
Dicen
que
dicen,
que
desde
entonces
On
dit
que
l'on
dit,
que
depuis
ce
jour
Ardiendo
de
odio
su
corazón,
Brûlant
de
haine
dans
son
cœur,
El
taura
manso
buscó
a
la
paica
Le
jeune
homme
doux
a
cherché
la
femme
Por
cielo
y
tierra
como
hice
yo.
Par
tous
les
moyens,
comme
j'ai
fait
pour
toi.
Y
cuando
quiso,
justo
el
destino,
Et
quand
il
a
voulu,
le
destin
a
voulu,
Que
la
encontrara,
como
ahura
a
vos,
Qu'il
la
retrouve,
comme
je
t'ai
retrouvée,
Trenzó
sus
manos
en
el
cogote
Il
a
enlacé
ses
mains
autour
de
son
cou
De
aquella
perra...
como
hago
yo...
De
cette
chienne...
comme
je
le
fais
avec
toi...
Deje
vecino...
No
llame
a
nadie.
Laissez-moi
tranquille,
voisin...
Ne
prévenez
personne.
No
tenga
miedo,
estoy
desarmao.
N'aie
pas
peur,
je
suis
désarmé.
Yo
sólo
quise
contarle
un
cuento,
Je
voulais
juste
te
raconter
une
histoire,
Pero
el
encono
me
ha
traicionao...
Mais
la
colère
m'a
trahi...
Dicen
que
dicen,
vecino,
que
era
On
dit
que
l'on
dit,
voisin,
qu'elle
était
Todo
ternura
la
que
murió...
Toute
tendresse,
celle
qui
est
morte...
Que
jué
el
orgullo
de
un
mozo
taura
Que
c'était
la
fierté
d'un
jeune
homme
De
fondo
bueno...
como
era
yo...
Au
fond
bon...
comme
je
l'étais...
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Авторы: Enrique Delfino, Alberto Ballesteros
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