Julio Sosa - Ivette - перевод текста песни на французский

Текст и перевод песни Julio Sosa - Ivette




Ivette
Ivette
En la puerta de un boliche
Devant la porte d'un bar,
Un bacán encurdelado,
Un homme enfoncé dans ses pensées,
Recordando su pasado
Se souvenant de son passé,
Que la china lo dejó,
De l'instant tu m'as quitté,
Entre los humos de caña
Au milieu des fumées d'alcool
Retornan a su memoria
Reviennent dans ma mémoire
Esas páginas de historia
Ces pages d'histoire
Que su corazón grabó.
Que mon cœur a gravé.
Bulín que ya no te veo,
Mon petit appartement que je ne vois plus,
Catre que ya no apolillo,
Mon lit que je ne ressens plus,
Mina que de puro esquillo
Mon amour qui, par pure coquetterie,
Con otro bacán se fue;
S'est envolée avec un autre homme ;
Prenda que fuiste el encanto
Mon trésor, tu étais le charme
De toda la muchachada
De toute la bande,
Y que por una pavada
Et pour une bêtise,
Te acoplaste a un no qué...
Tu t'es accrochée à je ne sais quoi...
¡Qué te ha de dar ese otro
Que peut te donner cet autre
Que tu viejo no te ha dado!
Que je ne t'ai pas donné !
¿No te acordás que he robado
Tu ne te souviens pas que j'ai volé
Pa que no falte el bullón?
Pour qu'il ne manque rien ?
¿No te acordás cuando en cana
Tu ne te souviens pas que quand j'étais en prison
Te mandaba en cuadernitos
Je t'écrivais des mots doux
Aquellos lindos versitos
Ces beaux vers
Nacidos del corazón?
Nés de mon cœur ?
¿No te acordás que conmigo
Tu ne te souviens pas qu'avec moi
Usaste el primer sombrero
Tu as porté ton premier chapeau
Y aquel cinturón de cuero
Et cette ceinture en cuir
Que a otra mina le saqué?
Que j'ai prise à une autre fille ?
¿No te traje pa tu santo
Ne t'ai-je pas apporté pour ton anniversaire
Un par de zarzos de bute
Des boucles d'oreilles en or
Que una noche a un farabute
Que j'ai volées un soir à un voyou
Del cotorro le pianté.
Dans le quartier ?
Y con ellos unas botas
Et avec elles, des bottes
Con las cañas de gamuza
Avec des tiges en daim
Y una pollera papusa
Et une jupe élégante
Hecha de seda crepé?
En crêpe de soie ?
¿No te acordás que traía
Tu ne te souviens pas que j'apportais
Aquella crema lechuga
Cette crème verte
Que hasta la última verruga
Qui a enlevé jusqu'à la dernière verrue
De la cara te sacó?
De ton visage ?
Y aquellos polvos rosados
Et ces poudres roses
Que aumentaban tus colores
Qui accentuaient ton teint,
Recordando sus amores
En se souvenant de ses amours,
El pobre bacán lloró...
Ce pauvre homme a pleuré...





Авторы: Pascual Contursi, Augusto Berto


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