Текст и перевод песни KID FRESINO feat. JAGGLA - incident (feat. JAGGLA)

incident (feat. JAGGLA)

繰り返し書くIma poet 路地裏で目が合う猫には無い愛想
今からじゃ叶わない夢を見る 覚えたWordsを切り売りして生きる
今夜良い知らせだけを届ける 俺らにSadなNewsはもう充分
1人になれない苦しみを知る
1人になりたい夜も手を握る 頭で考え切れる死に方
頭を抱えて生きてくのかな 俺らは
令和 縛られる鎖 解く手は無いと 目眩 また祈り
一筆書きが出来ない歌を歌い
遺せる唯一の財産はPair ring 俺には無いものが人にある
人にはないものが俺にはあるか
何処から来て今どこへ向かうか 終わりない怠惰に溺れるいずれは
But I feel like I'm 18
俺ら信じない全員
追われるよう逃げる向こうに響くアラートに揺れる列島の住人
ゆうにさわれそうなあの太陽は雲のはるか上に
声にはならない声も俺には聞こえてるぜ Buddy
I go make a million
Just take my pain I paint the picture visions of Gideon
破れた地図と汚れたShoesで向かう果ての果て
I write the composition again
俺のSoulを買い取るなら今日 新しい朝にこの街にはいないと思う

I make the song cry too
God got me think I'm weirdo
I'm gonna spin these coupes
Picture me rollin like Hova
霧がぼかすFocus 殴り書きで描写
生きる中で交差しても 秘密基地でRoll up

I make the song cry too
God got me think I'm weirdo
I'm gonna spin these coupes
Picture me rollin like Hova
いつかTime over これがLast order
惚れた女みたいな音楽
From street's corner

赤い空は落ちて黒いカーテンの奥を覗く
ダルマさんが転ぶ 鬼は追いかけまわす
飛べないカラス 今日も生きて恥を晒す
置いてきた昨日 約束を果たす
おれの頭の中 キチガイ
短い夜 死神の痕跡
でもソウルは奪えない
引くに引けない 走り出した夜
全部が足りない 満たされた時の心知りたい
これからの事考えるの恐怖
大丈夫 ただ退屈との勝負長いストローク
難しいのは自分が自分である事
最初の角から出直そう
マイクチェックワンツー
ドラマは角度で変わるストーリー
目が合ったあの子もパッと素通り
もしもし
2度は無い時間の中Walking
一筆書き出来ない歌 おれも歌いながら
腰履きのまんま 向かうNext door

I make the song cry too
God got me think I'm weirdo
I'm gonna spin these coupes
Picture me rollin like Hova
霧がぼかすFocus 殴り書きで描写
生きる中で交差しても 秘密基地でRoll up

I make the song cry too
God got me think I'm weirdo
I'm gonna spin these coupes
Picture me rollin like Hova
いつかTime over これがLast order
惚れた女みたいな音楽
From street's corner

incident (feat. JAGGLA)

Je répète ce que j'écris, je suis poète, dans une ruelle, les chats que je croise n'ont pas l'air aimables.
Je rêve d'un rêve qui ne peut plus se réaliser maintenant, je vis en vendant les mots que j'ai appris.
Ce soir, je ne vais t'apporter que de bonnes nouvelles, on en a assez de mauvaises nouvelles.
Je connais la douleur de ne pas être seul.
Même les nuits où je veux être seul, je te tiens la main, une façon de mourir que mon cerveau peut comprendre.
Est-ce qu'on va continuer à vivre la tête dans les mains, mon amour ?
L'ère Reiwa, les chaînes qui nous lient, on n'a pas de main pour les défaire, vertiges, prières.
Je chante une chanson que je ne peux pas écrire d'un trait.
Le seul héritage que je peux laisser est une alliance, il y a des choses que tu as et que je n'ai pas.
Y a-t-il des choses que tu n'as pas et que j'ai ?
D'où venons-nous et où allons-nous ? On finira par se noyer dans une paresse sans fin.
Mais je me sens comme si j'avais 18 ans.
On ne croit à personne.
On fuit comme si on était poursuivis, les habitants de l'archipel tremblent au son des alertes qui résonnent dans le lointain.
Ce soleil qu'on pourrait presque toucher est haut dans les nuages.
Je peux entendre même les voix qui ne sont pas des voix, mon pote.
Je vais faire un million.
Prends juste ma douleur, je peins l'image, des visions de Gédéon.
Je me dirige vers l'extrémité de l'extrémité avec une carte déchirée et des chaussures sales.
J'écris à nouveau la composition.
Si tu veux acheter mon âme, fais-le aujourd'hui, je ne pense pas que je serai dans cette ville demain matin.

Je fais pleurer la chanson aussi.
Dieu me fait penser que je suis un bizarre.
Je vais faire tourner ces coupes.
Imagine-moi rouler comme Hova.
Le brouillard floute le focus, j'écris en gros caractères.
Même si on se croise dans la vie, on roule dans notre base secrète.

Je fais pleurer la chanson aussi.
Dieu me fait penser que je suis un bizarre.
Je vais faire tourner ces coupes.
Imagine-moi rouler comme Hova.
Un jour, le temps sera écoulé, c'est la dernière commande.
Une musique comme une femme dont je suis amoureux.
Du coin de la rue.

Le ciel rouge tombe et je regarde dans les profondeurs du rideau noir.
Le bonhomme de neige se renverse, le démon le poursuit.
Le corbeau qui ne peut pas voler vit encore et fait honte à tous.
Hier que j'ai laissé derrière moi, je vais tenir mes promesses.
Dans ma tête, c'est la folie.
Une courte nuit, les traces de la mort.
Mais on ne peut pas voler l'âme.
Impossible de reculer, la nuit a commencé à courir.
Tout est insuffisant, j'aimerais connaître le cœur de la plénitude.
J'ai peur de penser à l'avenir.
Ne t'inquiète pas, c'est juste un long combat contre l'ennui.
Le plus difficile est d'être soi-même.
On va recommencer à partir du premier coin.
Micro check, un deux.
L'histoire change en fonction de l'angle.
La fille que j'ai croisée a aussi traversé la rue en courant.
Allô.
Je marche dans un temps qui ne se répète jamais.
Je chante aussi une chanson que je ne peux pas écrire d'un trait.
Avec mon pantalon de travail, je me dirige vers la porte voisine.

Je fais pleurer la chanson aussi.
Dieu me fait penser que je suis un bizarre.
Je vais faire tourner ces coupes.
Imagine-moi rouler comme Hova.
Le brouillard floute le focus, j'écris en gros caractères.
Même si on se croise dans la vie, on roule dans notre base secrète.

Je fais pleurer la chanson aussi.
Dieu me fait penser que je suis un bizarre.
Je vais faire tourner ces coupes.
Imagine-moi rouler comme Hova.
Un jour, le temps sera écoulé, c'est la dernière commande.
Une musique comme une femme dont je suis amoureux.
Du coin de la rue.