Текст и перевод песни Kako M. - El capitán de los piojos
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El capitán de los piojos
Le capitaine des poux
Cuando
el
verano
era
largo
y
utópico
te
vi,
Quand
l'été
était
long
et
utopique,
je
t'ai
vu,
Besando
a
tantos,
cuántos
grafitis
de
carmín,
Embrasser
tant
de
gens,
combien
de
graffitis
de
carmin,
Decían
sobre
la
piel
de
los
que
odié
por
tener
tu
corazón,
Disaient
sur
la
peau
de
ceux
que
j'ai
détestés
pour
avoir
ton
cœur,
Su
mayor
defecto:
que
nunca
era
en
yo.
Leur
plus
grand
défaut
: ce
n'était
jamais
en
moi.
Yo
con
mis
gafas
de
pasta,
Moi
avec
mes
lunettes
en
plastique,
Tu
te
desarrollaste
antes
que
yo
y
me
sacabas
una
cuarta.
Tu
t'es
développée
avant
moi
et
tu
me
devançais
d'un
quart.
Corrían
los
trece
cuando
probaban
su
primer
cigarro,
Treize
ans
couraient
quand
ils
ont
goûté
leur
première
cigarette,
Esos
que
hoy
soy
drogodependientes.
Ceux
que
je
suis
aujourd'hui
un
drogué.
Tu
con
tu
Chester,
que
te
dio
años
cuando
ansiabas
ser
mayor,
Toi
avec
ton
Chester,
qui
t'a
donné
des
années
quand
tu
aspirais
à
être
plus
grande,
Y
ahora
no
te
los
quita
ni
Dios
Et
maintenant,
même
Dieu
ne
te
les
enlève
pas
En
el
presente,
el
cual
se
endeuda
soñando
sin
tí.
Dans
le
présent,
qui
s'endette
en
rêvant
sans
toi.
Valientes
se
acercaban,
cobardes
miraban,
Les
courageux
s'approchaient,
les
lâches
regardaient,
Yo
crecí
con
una
mano
ahí
estudiando
las
arrugas
de
tu
blusa,
J'ai
grandi
avec
une
main
là
en
étudiant
les
rides
de
ton
chemisier,
Difusa,
adivinando
tu
piel,
Floue,
devinant
ta
peau,
Todo
por
merecer,
recoger
tu
fruto,
Tout
pour
mériter,
cueillir
ton
fruit,
Intentando
trucos
que
en
las
pelis
siempre
salían
bien.
Essayer
des
tours
qui
dans
les
films
ont
toujours
bien
réussi.
Y
los
demás
hablaban
de
cuando
Boris
se
despelotó,
Et
les
autres
parlaient
de
quand
Boris
s'est
déshabillé,
La
noche
anterior,
en
crónicas
marcianas.
La
nuit
précédente,
dans
les
chroniques
marciennes.
Y
nada,
tu
eras
la
Venus
de
Milo
preadolescente,
Et
rien,
tu
étais
la
Vénus
de
Milo
préadolescente,
Yo
el
inteligente...
Moi
l'intelligent...
Yo
el
gafitas
cuatro
ojos,
el
capitán
de
los
piojos,
Moi
le
lunettes
quatre
yeux,
le
capitaine
des
poux,
Desde
barcos
y
mar
que
es
la
soledad.
Depuis
les
bateaux
et
la
mer
qui
est
la
solitude.
Y
yo
tu
mejor
amigo,
tu
adorno,
Et
moi
ton
meilleur
ami,
ton
ornement,
Aún
maldigo
aquel
conejo
de
la
suerte
que
no
aceptaba
sobornos.
Je
maudis
encore
ce
lapin
porte-bonheur
qui
n'acceptait
pas
les
pots-de-vin.
Yo
el
gafitas
cuatro
ojos...
El
capitán
de
los
piojos...
Moi
le
lunettes
quatre
yeux...
Le
capitaine
des
poux...
Yo
el
gafitas
cuatro
ojos...
El
capitán
de
los
piojos.
Moi
le
lunettes
quatre
yeux...
Le
capitaine
des
poux.
Yo
el
mentiroso
fiel
frente
a
la
pared
de
rodillas,
Moi
le
menteur
fidèle
face
au
mur
à
genoux,
De
los
que
juró
y
perjuró
que
vio
lo
de
Ricky
Martin
y
la
nosilla.
De
ceux
qui
ont
juré
et
perjuré
qu'il
a
vu
ce
de
Ricky
Martin
et
la
nosilla.
Te
estudié
de
memoria,
desde
mi
asiento,
Je
t'ai
étudiée
par
cœur,
depuis
mon
siège,
Mientras
dibujaba
un
pene
erecto
en
el
libro
de
historia.
Alors
que
je
dessinais
un
pénis
en
érection
dans
le
livre
d'histoire.
Te
encontré
suguiendo
el
rastro
de
neuronas
muertas,
Je
t'ai
trouvée
en
suivant
la
trace
de
neurones
mortes,
De
sueños
rotos
y
bolis
perdidos
que
te
presté.
De
rêves
brisés
et
de
stylos
perdus
que
je
t'ai
prêtés.
Y
recordé
que
una
vez
llegó
un
Septiembre
Et
je
me
suis
souvenu
qu'une
fois
un
septembre
est
arrivé
En
el
que
volvió
otra
persona
a
tu
pupitre
vistiendo
tu
piel.
Où
une
autre
personne
est
revenue
à
ton
pupitre
en
portant
ta
peau.
Yo
hoy
paras
en
ese
bar
al
que
van,
Aujourd'hui,
je
m'arrête
dans
ce
bar
où
ils
vont,
Los
amantes
anónimos
que
desvelan
con
depresión
postcoital.
Les
amants
anonymes
qui
se
réveillent
avec
une
dépression
postcoïtale.
Y
allí
te
encontré,
Et
je
t'ai
trouvée
là,
Yo
haciendo
de
meteorólogo
de
silencios
incómodos,
Moi
faisant
de
météorologue
de
silences
maladroits,
Creo
que
va
a
llover.
Je
pense
qu'il
va
pleuvoir.
Ocultando
con
el
humor
lo
que
no
pude
con
valentía,
Cachant
avec
l'humour
ce
que
je
n'ai
pas
pu
faire
avec
courage,
Me
miraste
y
dijiste:
"Basta
de
tonterías".
Tu
m'as
regardé
et
tu
as
dit
: "Assez
de
bêtises".
Me
cogiste
la
mano,
me
hiciste
de
guía,
Tu
m'as
pris
la
main,
tu
m'as
fait
de
guide,
Qué
bien
te
sabías
el
recorrido
de
la
barra
al
baño.
Comme
tu
connaissais
bien
le
parcours
du
bar
aux
toilettes.
Y
cuántos
años
han
tenido
que
pasar,
Et
combien
d'années
ont
dû
passer,
Para
tenerte
frente
a
frente,
al
fin
te
siento.
Pour
t'avoir
en
face
de
moi,
enfin
je
te
sens.
Te
tomé
de
un
trago
y
sin
pensar,
Je
t'ai
prise
d'une
traite
et
sans
réfléchir,
Y
el
alma
se
desplomó,
Et
l'âme
s'est
effondrée,
Cuando
acabé
y
dijiste:
"Son
cincuenta
euros".
Quand
j'ai
fini
et
tu
as
dit
: "C'est
cinquante
euros".
Son
cincuenta
euros...
C'est
cinquante
euros...
Son
cincuenta
euros...
C'est
cinquante
euros...
No
te
enamores
a
primera
vista
con
miopía,
Ne
t'amourache
pas
au
premier
regard
avec
la
myopie,
Parecía
santa
hasta
a
mitad
de
una
orgía.
Tu
semblais
sainte
jusqu'à
mi-orgie.
Y
yo
el
gafitas
cuatro
ojos,
el
capitán
de
los
piojos,
Et
moi
le
lunettes
quatre
yeux,
le
capitaine
des
poux,
Desde
barcos
y
mar
que
es
la
soledad.
Depuis
les
bateaux
et
la
mer
qui
est
la
solitude.
Y
yo
tu
mejor
amigo,
tu
adorno,
Et
moi
ton
meilleur
ami,
ton
ornement,
Aún
maldigo
aquel
conejo
de
la
suerte
que
no
aceptaba
sobornos.
Je
maudis
encore
ce
lapin
porte-bonheur
qui
n'acceptait
pas
les
pots-de-vin.
Yo
el
gafitas
cuatro
ojos...
El
capitán
de
los
piojos...
Moi
le
lunettes
quatre
yeux...
Le
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Авторы: Juan Jose Moreno Leon
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