Текст и перевод песни Kamelot - Call of the Sea (Live)

Call of the Sea (Live)

Endless alone lost at sea
It′s a never ending chore to
Keep my head above these waters
I've never feared before
The sun has taken its toll
The salt runs in my veins
I′ve never feared before these
Waters I've grown to hate
Will I live to see tomorrow?
Or will I die in this watery depth?
The sea is calling me
My will to live is stronger than
These tides could ever be
The sea is calling me
Why won't I let these waters
Claim me victory?
I long for the place where the
Winds and the tide tear at the shore
But in the twilights of my dreams
The fire rages on
Endless alone lost at sea
It′s a never ending chore to
Keep my head above these waters
I′ve never feared before
I long for the place where the
Winds and the tide tear at the shore
But in the twilights of my dreams
The fire rages on
The sea is calling me
My will to live is stronger than
These tides could ever be
The sea is calling
Why won't I let these waters
Claim me victory?

L'appel de la mer (En direct)

Seul, perdu en mer, à jamais
C'est une tâche sans fin que de
Garder la tête hors de ces eaux
Je n'ai jamais eu peur auparavant
Le soleil a fait son effet
Le sel coule dans mes veines
Je n'ai jamais eu peur auparavant de ces
Eaux que j'en suis venu à haïr
Vais-je vivre pour voir demain ?
Ou vais-je mourir dans ces profondeurs aquatiques ?
La mer m'appelle
Ma volonté de vivre est plus forte que
Ces marées ne pourraient jamais être
La mer m'appelle
Pourquoi ne laisserais-je pas ces eaux
Me proclamer vainqueur ?
J'aspire à l'endroit où le
Vent et la marée déchirent le rivage
Mais dans les crépuscules de mes rêves
Le feu fait rage
Seul, perdu en mer, à jamais
C'est une tâche sans fin que de
Garder la tête hors de ces eaux
Je n'ai jamais eu peur auparavant
J'aspire à l'endroit où le
Vent et la marée déchirent le rivage
Mais dans les crépuscules de mes rêves
Le feu fait rage
La mer m'appelle
Ma volonté de vivre est plus forte que
Ces marées ne pourraient jamais être
La mer appelle
Pourquoi ne laisserais-je pas ces eaux
Me proclamer vainqueur ?