Текст и перевод песни Karmah - Tom's Diner

Tom's Diner

I am thinking of your voice
And of burning like bling bling once upon a time
Before the rain began

Dududu...

As more yo people start getting busy, look at them is just so crazy.
They all trap soar by their rase to even recognize their mother's face.
Business is all they're really care of dead lies sadly all their lifes.
On my mind is be in corner by a smaller world in a coffee.
I am sitting in the morning at the diner on the corner.
I am waiting at the counter for the man to pour the coffee
And he fills it only halfway and before I even argue...
He is looking out the window at somebody coming in

Dududududu...

"It is always nice to see you" says the man behind the counter to the woman who has come in she is shaking her umbrella and I look the other way
As they are kissing their hellos I'm pretending not to see them
Instead I pour the milk

Dududududu...

And then suddenly the world just freeze like someone called curtains up
And their playing different comedies on the same's teach in the very same time.
Nothing seems to be important while I watch life's passing by.
Everything seems now so distant from this time
Your world in this coffee time.
I open up the paper there's a story of an actor
Who had died while he was drinking it was no one
I had heard of and I'm turning to the horoscope
And looking for the funnies

When I'm feeling someone watching me and so
I raise my head

There's a woman on the outside looking inside does she see me?
No she does not really see me cause she sees her own reflection
And I'm trying not to notice that she's hitching up her skirt
And while she's straightening her stockings her hair is getting wet

Dudududu...

Oh, this rain
It will continue
Through the morning
As I'm listening
To the bells
Of the cathedral
I am thinking
Of your voice...
And of the midnight picnic
Once upon a time
Before the rain began...
I finish up my coffee
It's time to catch the train

Le Diner de Tom

Je pense à ta voix
Et à brûler comme un bling bling autrefois
Avant que la pluie ne commence

Dududu...

Alors que de plus en plus de gens commencent à s'affairer, les regarder est tellement fou.
Ils sont tous piégés par leur course pour même reconnaître le visage de leur mère.
Le business est tout ce qui compte vraiment pour eux, des mensonges morts, tristement toute leur vie.
Dans mon esprit, c'est être dans un coin par un monde plus petit dans un café.
Je suis assise ce matin au diner du coin.
J'attends au comptoir que l'homme verse le café
Et il ne le remplit qu'à moitié, et avant même que je ne puisse protester...
Il regarde par la fenêtre quelqu'un qui entre

Dududududu...

"C'est toujours agréable de te voir" dit l'homme derrière le comptoir à la femme qui est entrée, elle secoue son parapluie et je regarde ailleurs
Alors qu'ils s'embrassent en se saluant, je fais semblant de ne pas les voir
Au lieu de ça, je verse le lait

Dududududu...

Et puis soudainement, le monde se fige, comme si quelqu'un avait dit "rideau"
Et ils jouent différentes comédies sur le même tableau en même temps.
Rien ne semble important alors que je regarde la vie passer.
Tout semble maintenant si lointain de ce moment
Ton monde dans ce moment de café.
J'ouvre le journal, il y a une histoire d'un acteur
Qui est mort alors qu'il buvait, c'était quelqu'un
Que je n'avais jamais entendu parler, et je me tourne vers l'horoscope
Et je cherche les drôles

Quand je sens quelqu'un me regarder, alors
Je lève la tête

Il y a une femme à l'extérieur qui regarde à l'intérieur, est-ce qu'elle me voit ?
Non, elle ne me voit pas vraiment parce qu'elle voit son propre reflet
Et j'essaie de ne pas remarquer qu'elle relève sa jupe
Et pendant qu'elle se redresse les bas, ses cheveux sont mouillés

Dudududu...

Oh, cette pluie
Elle va continuer
Tout le matin
Alors que j'écoute
Les cloches
De la cathédrale
Je pense
à ta voix...
Et au pique-nique de minuit
Autrefois
Avant que la pluie ne commence...
Je termine mon café
Il est temps de prendre le train