Текст и перевод песни Kasi - Gestalt

Gestalt

Presto de más en mis condiciones;
Psicópatas en los gobiernos mueven los patrones.
Chicos listos miran alto en ese centro de menores
Tocan cucharas de plástico, amoníaco, errores.

Me fui de mi casa y ni cerré la puerta
Contestándole a mi madre "como si pudiera".
(Venga hija, ¿Por qué no lo intentas?)
Vi su cara entendiéndolo y se me cayó la venda.
Desde aquello, nada ha sido fácil
Sé que querías a Nerea
Pero está Kasi pa' ti.

No eran las maneras,
Como si no lo supieras.
Tú tan tranquila fingiendo;
A mí no se me ve venir.
Y hasta aquí.

Soy adicta como consecuencia
Veloz, pierdo la paciencia;
Pánico a crisis de histeria.
Tengo lo que toca pero poco a poco.
Sé lo que te gusta pero yo me como el coco pa' no dártelo

Y escúchalo,
Viene de quien entiende de leyes,
Me fui de la carrera preparando agua con eme.
Colegas de pega que corren si no duele.

Vete,
Ya me toco yo si enfoco todo lo que viene,
Ya me tocaba quererme;
Yo sólo pierdo contra mí desde que fui consciente.
Esa gente miente (¡puto estado ausente!);
Te juro, el día que despierte,
Todo por delante y sino que me encierren.

Tengo demasiado si lo pienso,
Pero no quieren que me conforme (produciría menos).
Me inyectan hormonas en la comida que meto
Y ese niño se muere con su brazo como mi dedo.
Que no me tomo nada ¿tú estás viendo esto?
No recapacito porque no siento el progreso (¿micrófono en teléfonos?).
Y mil dudas al respecto;
Terapia sin prospecto.
Joder, ¿Qué estoy haciendo?
Deja ya la paranoia, que te está comiendo
Yo no busco llegar alto, quítate de enmedio;
Ponte de rodillas,
Lógico que tengas miedo.
Esta cara no es casualidad:
Dame lo que quiero (dámelo)
Que no es poco, ponte arriba.

Estoy que floto
Conmigo ya no cualquiera;
Lo que toco, lo destrozo.
Estoy sola pero a ratos, cómo no
¿Me he metido en algo o esto lo he elegido yo?
Vaya por Dios.

Todo cíclico, planes específicos;
Decisión que tomo, me quema y lo vuelvo rítmico.
Tú no sabes del rollo, pero yo te explico:
Las personas como yo necesitan el frío.
Si no me ahogan, ni me río;
Vete que me excito.
Si no me duele, ni me fío;
Yo lleno las hojas, ya no sé si rompo;
Pero pinto tanto que mi estilo lo ve hasta el más tonto.

Todo cíclico, planes específicos;
Decisión que tomo, me quema y lo vuelvo rítmico.
Tú no sabes na del rollo, pero yo te explico:
Las personas como yo necesitan el frío.
Si no me ahogan, ni me río;
Vete que me excito.
Si no me duele, ni me fío;
Yo lleno las hojas, ya no sé si rompo;
Pero pinto tanto que mi estilo lo ve hasta el más tonto.

Gestalt

Je me précipite de plus en plus dans mes conditions ;
Les psychopathes au gouvernement manipulent les schémas.
Des enfants intelligents regardent haut dans ce centre pour mineurs
Ils tapent sur des cuillères en plastique, de l'ammoniac, des erreurs.

J'ai quitté ma maison sans même fermer la porte
Répondant à ma mère "comme si je pouvais".
(Allez, fille, pourquoi ne pas essayer ?)
J'ai vu son visage le comprendre et le voile m'est tombé des yeux.
Depuis, rien n'a été facile
Je sais que tu aimais Nerea
Mais Kasi est là pour toi.

Ce n'était pas les manières,
Comme si tu ne le savais pas.
Toi, si tranquille, à faire semblant ;
On ne me voit pas venir.
Et jusqu'ici.

Je suis accro en conséquence
Rapide, je perds patience ;
La peur des crises d'hystérie.
J'ai ce qu'il faut, mais petit à petit.
Je sais ce que tu aimes, mais je me ronge les sangs pour ne pas te le donner

Et écoute-le,
Il vient de celui qui comprend les lois,
J'ai quitté mes études en préparant de l'eau avec de l'eme.
Des collègues de pacotille qui courent si ça ne fait pas mal.

Va-t'en,
Je me touche moi-même si je concentre tout ce qui arrive,
Il était temps que je m'aime ;
Je ne perds que contre moi-même depuis que j'en suis consciente.
Ces gens mentent (état absent !) ;
Je te jure, le jour où je me réveillerai,
Tout sera devant moi, sinon enferme-moi.

J'ai trop si j'y pense,
Mais ils ne veulent pas que je me contente (je produirais moins).
Ils m'injectent des hormones dans la nourriture que je mange
Et cet enfant meurt avec son bras comme mon doigt.
Que je ne prends rien, tu vois ça ?
Je ne réfléchis pas parce que je ne ressens pas le progrès (microphone dans les téléphones ?).
Et mille doutes à ce sujet ;
Thérapie sans notice.
Putain, qu'est-ce que je fais ?
Arrête la paranoïa, elle te bouffe
Je ne cherche pas à grimper haut, dégage ;
Mets-toi à genoux,
Normal que tu aies peur.
Ce visage n'est pas un hasard :
Donne-moi ce que je veux (donne-le moi)
Ce n'est pas peu, mets-toi en haut.

Je suis en train de flotter
Avec moi, ce n'est plus n'importe qui ;
Ce que je touche, je le détruit.
Je suis seule, mais par moments, comment ne pas l'être
Est-ce que je me suis lancée dans quelque chose ou est-ce que j'ai choisi ça ?
Mon Dieu.

Tout est cyclique, plans spécifiques ;
La décision que je prends, elle me brûle et je la rends rythmique.
Tu ne connais pas le truc, mais je te l'explique :
Les gens comme moi ont besoin du froid.
S'ils ne me noient pas, je ne ris pas ;
Va-t'en, je m'excite.
Si ça ne me fait pas mal, je ne fais pas confiance ;
Je remplis les feuilles, je ne sais plus si je les déchire ;
Mais je peins tellement que mon style, même le plus bête le voit.

Tout est cyclique, plans spécifiques ;
La décision que je prends, elle me brûle et je la rends rythmique.
Tu ne connais rien du truc, mais je te l'explique :
Les gens comme moi ont besoin du froid.
S'ils ne me noient pas, je ne ris pas ;
Va-t'en, je m'excite.
Si ça ne me fait pas mal, je ne fais pas confiance ;
Je remplis les feuilles, je ne sais plus si je les déchire ;
Mais je peins tellement que mon style, même le plus bête le voit.