Текст и перевод песни Keny Arkana feat. Fabrice Luchini - Gens pressés

Gens pressés

Hello, hello planète terre, planète en détresse
Petit homme surmené au milieu d'sos
Petit homme n'entend plus même son propre mal-être
Il court pour oublier qu'il s'est oublié dans le paraitre ...
Hello, hello gens pressés, les nerfs à l'envers
Qui pronent un royaume qui ressemble à l'enfer
Pret a mourir pour défendre la cage qui a tué nos ames et tout ce qu'elles referment
Couleur d'usine, ou barreaux en fer
Horizon barrières, là ou murs nous encerclent
Sombre mise en scène, dire qu'ils pensèrent
Effacer l'ensemble de la sagesse ancienne
Aujourd'hui sans r'pères,
Civilisation de vices et de gangsters
Vent d'indignation venu d'la planète entière
Fils de l'aberration que les siècles étranglèrent
Brise tes chaines!
Sois gardien de ton frère
Incarne dignement ce que le ciel t'a offert
En plein chamboulement, électrique atmosphère
Babylone s'écroule quand on agit par nous-même
Alors brises tes chaines!
Hello, hello gens pressés, la tête dans l'assiette!
Une vie entière à r'garder par la fenêtre
A rêver en silence d'une autre vie, d'un autre soi
Alors l'oubli de soi fera l'affaire
Mais dans l'esprit tout les soirs s'ra de la fête
L'angoisse et les cris étouffés par le paraitre
Des nœuds dans la tête, les poignets liés héritiers du mal-être
Brises tes chaines!
(Parlé):
écoute le souffle de l'âme, les foules n'ont pas raison
Troupeaux et fous de drames ne se posent pas de questions
Ici y'a tout grave
Chant de plaies, de lésions, sur l'macadame
Les cœurs se fanent car l'atmosphère est sous pression
Hello, hello gens pressés sans inhibition
Qui marchent dans la nuit dans l'oubli d'qui ils sont
La loi du bifton a tué l'enfant, l'a dupé pour aduler la grande division
Les gens se détestent, malédiction
Les gens se dépêchent sans savoir ou ils vont
Angoisse et stress, poisse, détresse
L'esprit carré comme une télévision
Humains qu'on délaisse,
Pays riche et ses champs d'sdf
Légitime on se bat on se lève véridique chez jeunesse
Ya plus une once de rêve, tous trahis on se crève
En secret on s'aime, on se haït on saigne
Si on faillit on serre, on crève si on cède
Rien n'est facile, on sait la vie est vouée à triompher
Alors brises tes chaines!
Hello, hello gens pressés, la tête dans l'assiette!
Une vie entière à r'garder par la fenêtre
à rêver en silence d'une autre vie, d'un autre soi
Alors l'oubli de soi fera l'affaire
Mais dans l'esprit tout les soirs s'ra de la fête
L'angoisse et les cris étouffés par l'paraitre
Des nœuds dans la tête, les poignets liés héritiers du mal-être
Brises tes chaines!
Hello, hello gens pressés, délaissés d'l'histoire
Qui s'interdit d'croire en sa propre victoire
Tête baissée pour ne plus voir l'futur, pour ne plus voir l'usure dans son propre miroir
Dérisoire rêve de vitrine, victime
Tuerai pour la gloire, attiré par c'qui brille
Ne pensant qu'à avoir, prétendant tout savoir
Désabusé a force de croire tout ce qu'ils disent
Sur le banc des accusés: insoumission
Qu'on veut morte ou derrière des barreaux d'prison
Digne héritière étriquée aux éclats de vérité
Mutilée par bien trop d'oppressions, arbitraire horizon
Chacun ses schémas, son vécu, ses raisons
Inertie totale, infectées les plaies l'sont
Sclérosés par des milliers de questions et les angoisses qu'elles t'amènent
Vas-y sauve toi de toi-même!
Hello, hello gens pressés, la tête dans l'assiette!
Une vie entière à regarder par la fenêtre
A rêver en silence d'une autre vie, d'un autre soi
Alors l'oubli de soi f'ra l'affaire
Mais dans l'esprit tout les soirs s'ra de la fête
L'angoisse et les cris étouffés par l'paraitre
Des nœuds dans la tête, les poignets liés héritiers du mal-être
Brises tes chaines!
Hello, hello gens pressés, la tête dans l'assiette!
Une vie entière à regarder par la fenêtre
A rêver en silence d'une autre vie, d'un autre soi
Alors l'oubli de soi f'ra l'affaire
Mais dans l'esprit tous les soirs sera de la fête
L'angoisse et les cris étouffés par l'paraitre
Des nœuds dans la tête, les poignets liés héritiers du mal-être
Brises tes chaines!

Rushed People

Hello, hello planet Earth, planet in distress
Overworked little man amidst SOS calls
Little man no longer hears even his own pain
He runs to forget that he's lost himself in appearances...
Hello, hello rushed people, nerves on edge
Who advocate for a kingdom that resembles hell
Ready to die to defend the cage that killed our souls and everything they hold
Factory-colored, with iron bars
Horizon of barriers, where walls encircle us
Dark staging, to think they thought
To erase all of the ancient wisdom
Today, without landmarks,
Civilization of vices and gangsters
Winds of indignation coming from the entire planet
Sons of the aberration that the centuries strangled
Break your chains!
Be your brother's keeper
Embody with dignity what the heavens have offered you
In the midst of upheaval, electric atmosphere
Babylon crumbles when we act for ourselves
So break your chains!
Hello, hello rushed people, head in the plate!
A whole life looking out the window
Silently dreaming of another life, another self
So self-oblivion will do the trick
But in the mind, every night will be a party
Anguish and cries stifled by appearances
Knots in the head, wrists bound, heirs of malaise
Break your chains!
(Spoken):
Listen to the breath of the soul, the crowds are not right
Herds and drama fools don't ask themselves questions
Everything is serious here
Song of wounds, of lesions, on the asphalt
Hearts wither because the atmosphere is under pressure
Hello, hello rushed people without inhibition
Who walk in the night forgetting who they are
The law of money killed the child, tricked him into worshipping the great division
People hate each other, a curse
People rush without knowing where they're going
Anxiety and stress, bad luck, distress
The mind square like a television
Humans that we abandon,
Rich country and its fields of homeless
Legitimate we fight we rise truthfully among the youth
There's not an ounce of dream left, all betrayed we die
Secretly we love, we hate we bleed
If we fail we tighten, we die if we give in
Nothing is easy, we know life is destined to triumph
So break your chains!
Hello, hello rushed people, head in the plate!
A whole life looking out the window
Silently dreaming of another life, another self
So self-oblivion will do the trick
But in the mind, every night will be a party
Anguish and cries stifled by appearances
Knots in the head, wrists bound, heirs of malaise
Break your chains!
Hello, hello rushed people, abandoned by history
Who forbid themselves to believe in their own victory
Head down to no longer see the future, to no longer see the wear and tear in their own mirror
Derisory dream of a shop window, victim
Will kill for glory, attracted by what shines
Thinking only of having, pretending to know everything
Disillusioned by believing everything they say
On the bench of the accused: insubordination
That we want dead or behind prison bars
Worthy heiress, confined by shards of truth
Mutilated by far too many oppressions, arbitrary horizon
Each one with their own patterns, their experiences, their reasons
Total inertia, the wounds are infected
Sclerotic from thousands of questions and the anxieties they bring you
Go ahead, save yourself from yourself!
Hello, hello rushed people, head in the plate!
A whole life looking out the window
Silently dreaming of another life, another self
So self-oblivion will do the trick
But in the mind, every night will be a party
Anguish and cries stifled by appearances
Knots in the head, wrists bound, heirs of malaise
Break your chains!
Hello, hello rushed people, head in the plate!
A whole life looking out the window
Silently dreaming of another life, another self
So self-oblivion will do the trick
But in the mind, every night will be a party
Anguish and cries stifled by appearances
Knots in the head, wrists bound, heirs of malaise
Break your chains!