Текст и перевод песни Killa Hakan - Marka

Marka

Gözleri kapatmak gerekiyo bazen
Ben hiçbir şey görmedim duymadım zaten
Gizli kalmak gerekiyo hayat engel dolu
Tek gözlü korsan bekler çengelli kolu

Kör bile tuttuğunu kapıp götürüyo zulüm
Senin yiğit bildiğin altına hötürüyo gülüm
Yer altı oynuyo kaynıyo kanım
Rüzgara karşı hedefteyim nişan al canım

Kara kafa teamim benim bükülmez ordum
Buraya gelene kadar çok kafa yordum
Kimi başarılı oldu ya da yarıda kaldı
Kimi çok erken gitti ya da yer altına daldı

Herkes ayrılır bir zaman yolları ayırır
Sevdiğine kan kusar yanlışı kayırır
Geçmişte ki yaşanan mazi boşa sayılır birden
Aynada yüzün görülmez olur kirden

Tehlike üzerinden sekenler
Ötmedem işkence çekenler marka
Çoğu sahte kabadayı yok yürek arka
Hep çok konuşan ilk kaçtı parka

Tehlike üzerinden sekenler
Ötmedem işkence çekenler marka
Çoğu sahte kabadayı yok yürek arka
Hep çok konuşan ilk kaçtı parka

Tehlike üzerinden sekenler
Ötmedem işkence çekenler marka
Çoğu sahte kabadayı yok yürek arka
Hep çok konuşan ilk kaçtı parka

Tehlike üzerinden sekenler
Ötmedem işkence çekenler marka
Çoğu sahte kabadayı yok yürek arka
Hep çok konuşan ilk kaçtı parka

Son pişmanlık fayda etmezmiş geçti
Delik açayım derken çukur eşti
Defalarca aynı hatayı yapıp düşmek
Sonra herkeste hata arayıp dünyaya küsmek

Herkes ilk önce kendine baksın ilki
Aptal sandığın çıkar uyanık tilki
Birgün anlar eğer takip ederse gözü
İdama götürür yalancının sözü

Kamuflaj ol gizlen saklan korun
Hep mi güvendiğin çıkarır sonunda sorun
Boğazını sarar sinir telleri elleri
Akar stress selleri büker belleri

Sert olacaksın ağır vicdansız gamsız
Buz gibi havada kaldın mı ortada camsız
Birden bastıracaksın birden ansız
Çok soğuk kanlı olmalısın hatta kansız

Tehlike üzerinden sekenler
Ötmedem işkence çekenler marka
Çoğu sahte kabadayı yok yürek arka
Hep çok konuşan ilk kaçtı parka

Tehlike üzerinden sekenler
Ötmedem işkence çekenler marka
Çoğu sahte kabadayı yok yürek arka
Hep çok konuşan ilk kaçtı parka

Tehlike üzerinden sekenler
Ötmedem işkence çekenler marka
Çoğu sahte kabadayı yok yürek arka
Hep çok konuşan ilk kaçtı parka

Tehlike üzerinden sekenler
Ötmedem işkence çekenler marka
Çoğu sahte kabadayı yok yürek arka
Hep çok konuşan ilk kaçtı parka

Sokakta hak arama bekleme bulaman
İtlerde havlıyo her kemiğe sulanan
Asılır hayat bazen ince bi ipte
Çaktırmaz suçlu takılır mahsun bi iple

Yarılır kaşın bazen patlar gözler
Takıldığın tehlike kışkırtır sözler
İçinde olduğun volkan her an patlar
Moral olsun diye kurduğun yıkılır katlar

Takip et izle bak örümcekdir ören
Çaldırdıkdan sonra elbet yoktur gören
Dikkatini cımbızla çekerim kınalı elin
Senden sert çıktı sidikli nazlı gelin

Tepeden aşağa yuvarlan geri çık tepeye
Hiç bitmez savaşlar cepheden cepheye
Çalı arkasına saklan kırmadan dalın
Arı gibi çalışkan ol tatlı olur balın

Tehlike üzerinden sekenler
Ötmedem işkence çekenler marka
Çoğu sahte kabadayı yok yürek arka
Hep çok konuşan ilk kaçtı parka

Tehlike üzerinden sekenler
Ötmeden işkence çekenler marka
Çoğu sahte kabadayı yok yürek arka
Hep çok konuşan ilk kaçtı parka

Marka marka marka marka marka marka marka
Marka marka marka marka marka marka marka
Marka marka marka marka marka marka marka
Marka marka marka marka marka marka marka
Marka marka marka marka

Marque

Parfois, il faut fermer les yeux
De toute façon, je n'ai rien vu ni entendu
Il faut rester caché, la vie est pleine d'obstacles
Le pirate borgne attend, son crochet à la main

Même un aveugle peut s'emparer de ce qu'il trouve, c'est la loi de la jungle
Celui que tu crois courageux s'écroule à tes pieds, ma belle
Le monde souterrain joue, mon sang bout
Je suis une cible face au vent, vise-moi ma chérie

Mon équipe à tête noire, mon armée inébranlable
J'ai beaucoup réfléchi pour en arriver là
Certains ont réussi, d'autres se sont arrêtés en chemin
Certains sont partis trop tôt ou se sont cachés sous terre

Tout le monde se sépare un jour, les chemins divergent
On crache du sang pour ceux qu'on aime, on favorise l'erreur
Le passé, les souvenirs, ne comptent plus d'un coup
Ton visage devient invisible dans le miroir, à cause de la saleté

Ceux qui se relèvent après le danger
Ceux qui ont souffert en silence, voilà la marque
La plupart sont de faux durs, sans cœur au fond
Ceux qui parlent le plus sont les premiers à fuir au parc

Ceux qui se relèvent après le danger
Ceux qui ont souffert en silence, voilà la marque
La plupart sont de faux durs, sans cœur au fond
Ceux qui parlent le plus sont les premiers à fuir au parc

Ceux qui se relèvent après le danger
Ceux qui ont souffert en silence, voilà la marque
La plupart sont de faux durs, sans cœur au fond
Ceux qui parlent le plus sont les premiers à fuir au parc

Ceux qui se relèvent après le danger
Ceux qui ont souffert en silence, voilà la marque
La plupart sont de faux durs, sans cœur au fond
Ceux qui parlent le plus sont les premiers à fuir au parc

Les regrets sont inutiles, c'est du passé
En voulant percer un trou, il a creusé un fossé
Faire la même erreur encore et encore et tomber
Puis blâmer tout le monde et bouder le monde entier

Que chacun se regarde d'abord
Celui que tu crois idiot s'avère être un renard rusé
Un jour, il comprendra, s'il observe attentivement
Les paroles du menteur mènent à sa perte

Camoufle-toi, cache-toi, protège-toi
Celui en qui tu as confiance finit toujours par poser problème
Les nerfs tendus lui serrent la gorge, les mains tremblantes
Le stress coule à flots, le faisant plier sous le poids

Sois dur, impitoyable, insensible
Comme si tu étais coincé dans un froid glacial, sans abri
Tu frapperas fort, soudainement, sans prévenir
Tu dois être de sang-froid, voire sans cœur

Ceux qui se relèvent après le danger
Ceux qui ont souffert en silence, voilà la marque
La plupart sont de faux durs, sans cœur au fond
Ceux qui parlent le plus sont les premiers à fuir au parc

Ceux qui se relèvent après le danger
Ceux qui ont souffert en silence, voilà la marque
La plupart sont de faux durs, sans cœur au fond
Ceux qui parlent le plus sont les premiers à fuir au parc

Ceux qui se relèvent après le danger
Ceux qui ont souffert en silence, voilà la marque
La plupart sont de faux durs, sans cœur au fond
Ceux qui parlent le plus sont les premiers à fuir au parc

Ceux qui se relèvent après le danger
Ceux qui ont souffert en silence, voilà la marque
La plupart sont de faux durs, sans cœur au fond
Ceux qui parlent le plus sont les premiers à fuir au parc

Ne cherche pas la justice dans la rue, n'espère pas la trouver
Les chiens aussi aboient, attirés par chaque os
La vie ne tient parfois qu'à un fil
Le coupable ne se montre pas, il joue l'innocent, la mine déconfite

Parfois, ton sourcil se fend, tes yeux explosent
Le danger dans lequel tu te trouves attise les paroles
Le volcan en toi peut exploser à tout moment
Les étages que tu construis pour te remonter le moral s'effondrent

Observe, regarde, c'est une araignée qui tisse sa toile
Après le vol, il n'y a bien sûr aucun témoin
J'attire ton attention avec une pince à épiler, ma belle aux mains hénnées
La douce et capricieuse épouse s'est avérée plus coriace que toi

Tu dévales la pente, tu remontes au sommet
Des guerres sans fin, d'un front à l'autre
Cache-toi derrière un buisson, ne casse pas la branche
Sois travailleuse comme une abeille, ton miel sera doux

Ceux qui se relèvent après le danger
Ceux qui ont souffert en silence, voilà la marque
La plupart sont de faux durs, sans cœur au fond
Ceux qui parlent le plus sont les premiers à fuir au parc

Ceux qui se relèvent après le danger
Ceux qui ont souffert en silence, voilà la marque
La plupart sont de faux durs, sans cœur au fond
Ceux qui parlent le plus sont les premiers à fuir au parc

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