Текст и перевод песни La Arrolladora Banda el Limón de René Camacho - El Caballo de Pepito

El Caballo de Pepito

Pepito tenía un caballo
Que nomás él lo montaba
Era un vallo cara blanca
De siete cuartas de alzada
Ay, qué rechulo animal
Nomás hablar le faltaba

José quería aquel caballo
Como a su Dios lo adoraba
Todos lo días, muy temprano
Lo bañaba y lo ensillaba
Y el vallo de puro gusto
Se paraba y relinchaba

De Laredo hasta Terán
Jamás perdió una carrera
Ay, qué rechulo animal
Corría como una fiera
Del porvenir a San Juan
Dejó gente en la miseria

Pero el destino es muy cruel
Y no hay quien se le resista
Y quiso que aquel corsel
Un día perdiera la vista
Ya nunca volvió a correr
Ni en el llano ni en la pista

Pa′ quitarlo de sufrir
José le dio tres balazos
Así le toco morir
Aquel que en vida era un rayo
De la historia este es el fin
De Pepito y su caballo

Le cheval de Pepito

Pepito avait un cheval
Que lui seul montait
C'était un cheval blanc
De sept quarts de hauteur
Oh, quel bel animal
Il ne manquait que la parole

José voulait ce cheval
Comme son Dieu, il l'adorait
Tous les jours, très tôt
Il le baignait et le sellait
Et le cheval, de pur plaisir
Se levait et hennissait

De Laredo à Terán
Il n'a jamais perdu une course
Oh, quel bel animal
Il courait comme une bête sauvage
De Porvenir à San Juan
Il a laissé des gens dans la misère

Mais le destin est très cruel
Et personne ne peut lui résister
Et il a voulu que ce coursier
Un jour perde la vue
Il n'a plus jamais couru
Ni dans la plaine, ni sur la piste

Pour l'empêcher de souffrir
José lui a tiré trois balles
C'est comme ça qu'il a dû mourir
Celui qui était un éclair dans la vie
C'est la fin de l'histoire
De Pepito et son cheval