Текст и перевод песни La Habitación Roja - La Razón Universal

La Razón Universal

Tan sólo en sus ojos pude ver
Los colores que siento
Los de cada atardecer

Los días caen
Los cielos arderán una vez más
Mostrando su dramática razón universal

Con la que estoy de acuerdo
Por la que vuelvo a esperar
Que los astros me sonrían
Y se vuelvan a alinear

Siguiendo su camino
Tal vez puedas encontrar
Lo que en mí no encontrabas
Lo que no te supe dar

Cruzar bosques encantados
Perderme y rendirme ante la inmensidad
De los cielos contemplados
Desde los tejados de tu ciudad
Las noches serán poemas
Tan largos que nadie podrá recordar...

Tan sólo en sus ojos pude ver
Lo que probablemente
Ya no volveré a tener
Yo no puedo olvidarme de que
Fuimos algo más
Que lo que un viento oscuro y frío
Se quiso llevar

Cruzar bosques encantados
Perderme y rendirme ante la inmensidad
De los cielos contemplados
Desde los tejados de tu ciudad
Las noches serán poemas
Tan largos que nadie podrá recordar...

No sé si tú podrás hacerlo
Yo no he podido todavía olvidar
Y en los brazos equivocados
No se curarán tus heridas jamás

Se perderán los cielos
Misteriosos al compás
De canciones antiguas
Que no quiero mencionar...

La Raison Universelle

C’est seulement dans tes yeux que j’ai pu voir
Les couleurs que je ressens
Celle de chaque coucher de soleil

Les jours tombent
Les cieux brûleront une fois de plus
Montrant sa raison universelle dramatique

Avec laquelle je suis d’accord
Pour laquelle je réespère
Que les étoiles me sourient
Et s’alignent à nouveau

Suivant leur chemin
Peut-être pourras-tu trouver
Ce que tu ne trouvais pas en moi
Ce que je n’ai pas su te donner

Traverser des forêts enchantées
Me perdre et me rendre à l’immensité
Des cieux contemplés
Depuis les toits de ta ville
Les nuits seront des poèmes
Si longs que personne ne pourra s’en souvenir...

C’est seulement dans tes yeux que j’ai pu voir
Ce que probablement
Je n’aurai plus jamais
Je ne peux pas oublier que
Nous étions quelque chose de plus
Que ce qu’un vent sombre et froid
A voulu emporter

Traverser des forêts enchantées
Me perdre et me rendre à l’immensité
Des cieux contemplés
Depuis les toits de ta ville
Les nuits seront des poèmes
Si longs que personne ne pourra s’en souvenir...

Je ne sais pas si tu pourras le faire
Je n’ai pas encore pu oublier
Et dans les bras erronés
Tes blessures ne guériront jamais

Les cieux se perdront
Mystérieux au rythme
De vieilles chansons
Que je ne veux pas mentionner...