Текст и перевод песни La Oreja de Van Gogh - El Arbol

El Arbol

Era una tarde de mucho calor,
Se pararon a descanzar.
Bajo las sombras de un sauce lloron,
Comenzaron a soñar.
Se hiso de noche,
Ella no estaba,
Él desperto, era un juego de sombras.
Pasaron horas, muchas mañanas.
Tardes enteras buscado su calor.
Y nunca imaginó, quién provocó
Su soledad.
El arbol que robó, su ilusión, su corazón.
Él a ese viejo árbol se acercó,
Y de pronto descbubrió,
Que no eran gotas lo que resvalaba,
Eran lágrimas de su amor.
Se fue acercando,
Y lentamenten se unió al cuerpo de su enemigo.
En su interior, pudo escuchar,
Esos latidos que le quitaron todo, pero
Nunca imaginó, quién provocó,
Su soledad.
El árbol que robó,
Su ilusión, su corazón.
Nunca imaginó, quién provocó,
Su soledad.
Y el árbol que le robó,
Su ilusión, su corazón.
Su corazón.
Su corazón.
Su corazón.
Su corazón.

L'Arbre

C'était un après-midi très chaud,
Ils se sont arrêtés pour se reposer.
À l'ombre d'un saule pleureur,
Ils ont commencé à rêver.
La nuit est tombée,
Tu n'étais pas là,
Je me suis réveillé, c'était un jeu d'ombres.
Des heures ont passé, de nombreuses matinées.
Des après-midi entières à chercher ta chaleur.
Et je n'ai jamais imaginé qui a provoqué
Ma solitude.
L'arbre qui a volé, mon illusion, mon cœur.
Je me suis approché de ce vieil arbre,
Et soudain j'ai découvert,
Que ce n'étaient pas des gouttes qui coulaient,
C'étaient les larmes de notre amour.
Je me suis approché,
Et lentement je me suis uni au corps de mon ennemi.
En son intérieur, j'ai pu entendre,
Ces battements qui m'ont tout enlevé, mais
Je n'ai jamais imaginé qui a provoqué,
Ma solitude.
L'arbre qui a volé,
Mon illusion, mon cœur.
Je n'ai jamais imaginé qui a provoqué,
Ma solitude.
Et l'arbre qui m'a volé,
Mon illusion, mon cœur.
Mon cœur.
Mon cœur.
Mon cœur.
Mon cœur.