Текст и перевод песни Lanz Khan feat. Axos - Hashishin

Hashishin

La bellezza è come un fiore cresciuto tra i fumi d'hashish
La morte non esiste, racconti fantastici
Vediamo sulla lama lucente di un wakizashi
Così affilato che trapassa il cuore ai fantasmi
Scruto i sogni tuoi abbigliato d'onice nero, Ayatollah
Ad ogni eclissi solare poi scompaio con Aton Ra
Flow omicida che divide le vittime in due Isaia
Fiumi rossi in piena per ogni vena recisa via
Ti ritrovi fra mille maledizioni
Come chi disturba il sonno profondo dei faraoni
Tredici generazioni la cui fine è un patibolo per un re
Annunciata tra le fiamme del tempio: Jacques de Molay
La vendetta è dell'Altissimo ma qui faccio da me
Mi preparo con la notte nel corpo e quattro sakè
La tua pelle sul divano guarda come si intona
Offrimi un caffè soltanto se ti chiami Sindona

Per uccidervi tutti!
Per uccidervi tutti!
Per uccidervi tutti!
Per uccidervi

Sono solo una carezza abrasa cute
E una brezza che sfasa lune
E forgio l'anima in un'orgia di lame alla Masamune
E spara pure, ho il fendente verbale che allarga crune
Ed il mio filo sente il male che passe nelle armature
Poi le dune, te, sentirti più vicina
C'è che per colpirti devo allontanarti, spada acinace
Punte delicate: aghi di Pinacee
Storie vendittiane
Fermati prima che uccida Chan
Flow che ti cucina cervella
Così bella la fine che ho maculato
Questo manto bianco con macchie rosse che ho malcurato
E proprio infetto trovo il fiato profondo da mai fumato
E poi ti aspetto sotto il mondo nel fuoco del Meifumado
E' come un vizio, danzare sull'orlo del precipizio
Per capire che ogni passo ha i tremori di un pregiudizio
Che se sto vicino al vuoto alla lunga mi ci armonizzo
E sulla tela ho fatto un voto: restare solo uno schizzo

Per uccidervi tutti!
Per uccidervi tutti!
Per uccidervi tutti!
Per uccidervi

Apro porte del pensiero usando chiavi articolari
Ogni traccia mia barre da 5 artigli come i draghi imperiali
Killer seriali che raffinano gli organi sensoriali
Tarantole illuminate su ghiandole pineali
In confronto al mondo piccolo ma regno: bonsai
Leggo il vento sullo sfondo, una lingua che non sai
Faccio cose che non scrivo sui quaderni mai
Porto dentro scempio di coltelli come a minorenni Thai
Sette visi in ogni astro ci guardano da lassù
Noi scolpiti in monoliti di alabastro: Lamassu
Sono baci di zaffiri, labbra blu
Io rispetto i miei sodali e faccio fuoco sui reali: Kathmandu
Chiesi a un monaco che fossero l'inferno e il paradiso
Mi rispose: Io non posso dar lezione a un assassino!
Gli puntai la spada al collo e mi disse: Questo è l'inferno!
Allora la rinfoderai e mi disse: Questo è il paradiso!

The hashishin!
Per uccidervi tutti!
The hashishin!

Hashishin

La beauté est comme une fleur qui pousse parmi les fumées du haschisch
La mort n'existe pas, ce sont des contes fantastiques
On la voit sur la lame brillante d'un wakizashi
Si tranchante qu'elle transperce le cœur des fantômes
J'examine tes rêves, vêtu d'onyx noir, Ayatollah
À chaque éclipse solaire, je disparaît avec Aton Ra
Flow meurtrier qui divise les victimes en deux, Isaia
Des rivières rouges en crue pour chaque veine coupée
Tu te retrouves parmi mille malédictions
Comme celui qui trouble le sommeil profond des pharaons
Treize générations dont la fin est un gibet pour un roi
Annoncée dans les flammes du temple : Jacques de Molay
La vengeance est à Dieu, mais ici, je m'en occupe moi-même
Je me prépare avec la nuit dans mon corps et quatre sakés
Ta peau sur le canapé, regarde comme elle s'accorde
Offre-moi un café seulement si tu t'appelles Sindona

Pour vous tuer toutes !
Pour vous tuer toutes !
Pour vous tuer toutes !
Pour vous tuer

Je ne suis qu'une caresse qui brûle la peau
Et une brise qui déplace les lunes
Et je forge l'âme dans une orgie de lames à la Masamune
Et tirez autant que vous voulez, j'ai la fente verbale qui élargit les pupilles
Et mon fil sent le mal qui passe dans les armures
Puis les dunes, toi, te sentir plus proche
Il faut que je m'éloigne pour te frapper, épée acinace
Pointes délicates : aiguilles de Pinacées
Histoires vengeresses
Arrête-toi avant que je ne tue Chan
Flow qui te fait cuire les cerveaux
Si belle la fin que j'ai souillée
Ce manteau blanc avec des taches rouges que j'ai négligé
Et c'est justement infecté que je trouve le souffle profond que je n'ai jamais fumé
Et puis je t'attends sous le monde dans le feu du Meifumado
C'est comme un vice, danser au bord du précipice
Pour comprendre que chaque pas a les tremblements d'un préjugé
Que si je suis près du vide, à la longue je m'harmonise avec lui
Et sur la toile, j'ai fait un vœu : rester juste un esquisse

Pour vous tuer toutes !
Pour vous tuer toutes !
Pour vous tuer toutes !
Pour vous tuer

J'ouvre les portes de la pensée en utilisant des clés articulaires
Chaque trace de moi est barrée de 5 griffes comme les dragons impériaux
Des tueurs en série qui affinent leurs organes sensoriels
Des tarentules éclairées sur des glandes pinéales
Par rapport au monde petit mais royaume : bonsaï
Je lis le vent sur fond, une langue que tu ne connais pas
Je fais des choses que je ne note jamais dans mes carnets
Je porte en moi un carnage de couteaux comme chez les mineurs thaïlandais
Sept visages dans chaque astre nous regardent d'en haut
Nous sommes sculptés dans des monolithes d'albâtre : Lamassu
Ce sont des baisers de saphirs, des lèvres bleues
Je respecte mes compagnons et je fais du feu sur les royaux : Katmandou
J'ai demandé à un moine ce que seraient l'enfer et le paradis
Il m'a répondu : Je ne peux pas donner de leçon à un assassin !
Je lui ai pointé mon épée au cou et il m'a dit : C'est l'enfer !
Alors je l'ai remis dans son fourreau et il m'a dit : C'est le paradis !

Les hashishin !
Pour vous tuer toutes !
Les hashishin !