Текст и перевод песни Leon Gieco - Solo le pido a Dios

Solo le pido a Dios

Sólo le pido a Dios
Que el dolor no me sea indiferente
Que la reseca muerte no me encuentre
Vacío y solo sin haber hecho lo suficiente

Sólo le pido a Dios
Que lo injusto no me sea indiferente
Que no me abofeteen la otra mejilla

Después que una garra me arañó esta suerte
Sólo le pido a Dios
Que la guerra no me sea indiferente
Es un monstruo grande y pisa fuerte
Toda la pobre inocencia de la gente

Es un monstruo grande y pisa fuerte
Toda la pobre inocencia de la gente
Sólo le pido a Dios

Que lo injusto no me sea indiferente
Si un traidor puede más que unos cuantos
Que esos cuantos no lo olviden fácilmente

Sólo le pido a Dios
Que el futuro no me sea indiferente
Desahuciado está el que tiene que marchar
A vivir una cultura diferente
Sólo le pido a Dios
Que la guerra no me sea indiferente
Es un monstruo grande y pisa fuerte
Toda la pobre inocencia de la gente
Es un monstruo grande y pisa fuerte
Toda la pobre inocencia de la gente

Je ne demande qu'à Dieu

Je ne demande qu'à Dieu
Que la douleur ne me soit pas indifférente
Que la mort aride ne me trouve pas
Vide et seul, sans avoir fait assez

Je ne demande qu'à Dieu
Que l'injustice ne me soit pas indifférente
Que l'on ne me frappe pas sur l'autre joue

Après qu'une griffe m'a arraché ce destin
Je ne demande qu'à Dieu
Que la guerre ne me soit pas indifférente
C'est un monstre immense qui pèse lourd
Sur toute la pauvre innocence des gens

C'est un monstre immense qui pèse lourd
Sur toute la pauvre innocence des gens
Je ne demande qu'à Dieu

Que l'injustice ne me soit pas indifférente
Si un traître est plus fort que quelques-uns
Que ces quelques-uns ne l'oublient pas facilement

Je ne demande qu'à Dieu
Que l'avenir ne me soit pas indifférent
Celui qui doit partir est désespéré
Pour vivre une culture différente
Je ne demande qu'à Dieu
Que la guerre ne me soit pas indifférente
C'est un monstre immense qui pèse lourd
Sur toute la pauvre innocence des gens
C'est un monstre immense qui pèse lourd
Sur toute la pauvre innocence des gens