Текст и перевод песни Lingua Mortis Orchestra - Afterglow

Afterglow

After so many centuries
It is not forgotten what has happened,
All this mass hysteria, all that phobia.
And what has changed about it,
Are we now immune against this madness?
So much think the same, I would guess.

I can still recall the echoes of the cries
And the traces all around
Fade in the afterglow.

Behind the fire's light
Wait the shadows of the night,
Fade in the afterglow.

Why is it that we always
Try to make somebody pay for misfortune,
For our fears and for all our mistakes, we
Always forget the victims,
All the legions we have sent to the slaughter,
As if life means nothing we still play god.

I can still recall the echoes of the cries
And the traces all around
Fade in the afterglow.

Behind the fire's light
Wait the shadows of the night,
Fade in the afterglow.

Out of the darkness, back into the light
It seems we still feel their pain
After so many years there's still a memory,
Maybe they died not in vain.

There, behind the fire's light...

Lueur crépusculaire

Après tant de siècles
On n'oublie pas ce qui s'est passé,
Toute cette hystérie de masse, toute cette phobie.
Et qu'est-ce qui a changé à ce sujet,
Sommes-nous maintenant immunisés contre cette folie ?
Beaucoup pensent la même chose, je suppose.

Je me rappelle encore les échos des cris
Et les traces partout
S'estompent dans le lueur crépusculaire.

Derrière la lumière du feu
Attendent les ombres de la nuit,
S'estompent dans le lueur crépusculaire.

Pourquoi est-ce que nous essayons toujours
De faire payer quelqu'un pour le malheur,
Pour nos peurs et pour toutes nos erreurs, nous
Oublions toujours les victimes,
Toutes les légions que nous avons envoyées au massacre,
Comme si la vie ne voulait rien dire, nous jouons toujours à Dieu.

Je me rappelle encore les échos des cris
Et les traces partout
S'estompent dans le lueur crépusculaire.

Derrière la lumière du feu
Attendent les ombres de la nuit,
S'estompent dans le lueur crépusculaire.

De l'obscurité, de retour à la lumière
Il semble que nous sentions toujours leur douleur
Après tant d'années, il y a encore un souvenir,
Peut-être qu'ils ne sont pas morts en vain.

Là, derrière la lumière du feu...