Текст и перевод песни Loane feat. Christophe - Boby (Radio Edit)

Boby (Radio Edit)

Les taxis roulent, le jour commence
Petit matin de nuit blanche
Nue sur le divan, cheveux jusqu'aux seins
Boby fume une cigarette
Elle noie ses doutes au fond d'un verre
Pour faire venir le sommeil
Dans sa vie dissolue, le temps ne compte plus
Il est six heures, elle ouvre ses mails

Pas de nouvelles des éditeurs à qui elle envoie ses textes
Pas de nouvelles de ce garçon tant aimé un soir d'ivresse
Elle oublie de manger, rien dans le frigo
Déjeuner chez sa mère, faudra se lever tôt
Personne en ligne sur 1200 profils
Elle se ressert de l'alcool
Elle s'en fout, elle vit seule

Elle n'a jamais vraiment sommeil
Le jour se lève, au milieu de la nuit
Chez elle ou ailleurs, c'est pareil
C'est la même mélancolie

Les taxis roulent, la nuit commence
Dans les rues et les night club
Boby se lève, zéro mail
Dommage elle enfile une robe
Destination anesthésie
Ce soir elle fait la fête
Elle commande un gin au bar
Dance et discute aux toilettes

Elle se remaquille, défait ses cheveux
N'oublie aucun détail, nettoie sa carte bleue
La soirée bat son plein, les pansements de la nuit
Les prénoms qu'on retient, les promesses qu'on oublie
Les vapeurs du chagrin, les sourires qui s'ennuient
Les baisers que l'on vole, les conneries que l'on dit
L'arrivée du matin, les trottoirs sous la pluie
Le retour en taxi, et les taxis roulent

Elle n'a jamais vraiment sommeil
Le jour se lève, au milieu de la nuit
Chez elle ou ailleurs, c'est pareil
C'est la même insomnie

Elle n'a jamais vraiment sommeil
Le jour se lève, tendre est la nuit
Hier ou demain c'est pareil
C'est la même mélancolie

Et les taxis roulent, et tu fermes les yeux, Boby
Et les taxis roulent, et tu fermes les yeux
Et tu relèves ton col sous la pluie
Et tu remontes les boulevards dans la nuit
Et les taxis roulent

Elle n'a jamais vraiment sommeil
Le jour se lève, au milieu de la nuit
Chez elle ou ailleurs, c'est pareil
C'est la même insomnie

Elle n'a jamais vraiment sommeil
Le jour se lève, tendre est la nuit
Hier ou demain c'est pareil
C'est la même mélancolie

Les taxis roulent, le jour commence
Pluvieux matin de nuit blanche

Boby (Radio Edit)

Taxis are rolling, the day is beginning
Small morning of a sleepless night
Naked on the couch, hair down to her breasts
Boby smokes a cigarette
She drowns her doubts at the bottom of a glass
To make the sleep come
In her dissolute life, time no longer matters
It's six o'clock, she opens her emails

No news from the publishers to whom she sends her texts
No news from this boy so loved one drunken evening
She forgets to eat, nothing in the fridge
Lunch at her mother's, she'll have to get up early
Nobody online on 1200 profiles
She pours herself more alcohol
She doesn't care, she lives alone

She never really sleeps
The day rises, in the middle of the night
At home or elsewhere, it's the same
It's the same melancholy

Taxis are rolling, the night is beginning
In the streets and nightclubs
Boby gets up, zero emails
Too bad she puts on a dress
Destination anesthesia
Tonight she's partying
She orders a gin at the bar
Dances and chats in the toilets

She puts on makeup again, undoes her hair
Doesn't forget any detail, cleans her credit card
The evening is in full swing, the dressings of the night
The first names we remember, the promises we forget
The fumes of grief, the smiles that get bored
The kisses we steal, the bullshit we say
The arrival of the morning, the sidewalks in the rain
The return by taxi, and the taxis roll

She never really sleeps
The day rises, in the middle of the night
At home or elsewhere, it's the same
It's the same insomnia

She never really sleeps
The day rises, tender is the night
Yesterday or tomorrow it's the same
It's the same melancholy

And the taxis roll, and you close your eyes, Boby
And the taxis roll, and you close your eyes
And you turn up your collar in the rain
And you go back up the boulevards in the night
And the taxis roll

She never really sleeps
The day rises, in the middle of the night
At home or elsewhere, it's the same
It's the same insomnia

She never really sleeps
The day rises, tender is the night
Yesterday or tomorrow it's the same
It's the same melancholy

Taxis are rolling, the day is beginning
Rainy morning of a sleepless night