Текст и перевод песни Loqiemean - Королева

Королева

Я люблю и ненавижу;
Я люблю и ненавижу;
Я люблю и ненавижу;
Весь дом - бордель -
Я ебу и ненавижу!
Задирай подол, королева!
Это пот по коленям, а не сок из карьера!
Я досуха пью твоё тело.
Твоё тело - остров, мы с Пятницей делим.
Натянутые жилы, как канат - я по ним
Карабкаюсь до губ, поставлю там свой флаг!
Твои скулы готика и Нотр-Дам! Дай Горбуну
Немного красоты, но тебе надо не ума.
И ты даешь, нет - ты берешь!
Ты берешь кровью, ты берешь годами, ты берешь здоровьем.
Не боишься боли, цепануть меня ногтями.
Я романтика зарыл, но ты ебанный мародер!
Это не страсть, тут ярости больше.
Польские ручки, блять, я раздел Польшу.
Мы рвём друг друга на куски, как волки оленят;
Боже, храни Королеву от меня.
Глупы те, что рядом, их стыдный язык -
Не вкушал эту горечь с руки.
Для них ты - заплатка, заплакана,
Жалкие трусят и молят Святых, едва согрешив.
Твой стон напоминает Богу, что он жив.
Ты камера пыток, им не нужна киска, ты камера пыток;
Ты камера пыток, им не нужна киска, ты камера пыток;
Камера пыток, им не нужна киска, ты камера пыток;
Камера пыток, им не нужна киска, ты камера пыток!

La Reine

Je t'aime et je te déteste ;
Je t'aime et je te déteste ;
Je t'aime et je te déteste ;
Toute la maison est un bordel -
Je baise et je déteste !
Relève ta jupe, ma reine !
Ce sont des gouttes de sueur sur tes genoux, pas du jus de carrière !
Je bois ton corps jusqu'à la dernière goutte.
Ton corps est une île, Vendredi et moi, on la partage.
Tes muscles tendus, comme un câble - je grimpe
Jusqu'à tes lèvres, j'y planterai mon drapeau !
Tes pommettes, gothiques et Notre-Dame ! Donne à Quasimodo
Un peu de beauté, mais toi, tu n'as pas besoin d'intelligence.
Et tu donnes, non, tu prends !
Tu prends avec du sang, tu prends avec le temps, tu prends avec la santé.
Tu n'as pas peur de la douleur, tu m'attrapes avec tes ongles.
J'ai enterré mon romantisme, mais toi, tu es un pillage de merde !
Ce n'est pas de la passion, il y a plus de fureur ici.
Des mains polonaises, putain, j'ai démantelé la Pologne.
On se déchire en morceaux, comme des loups qui dévorent des faons ;
Dieu, protège la Reine de moi.
Les imbéciles qui sont à côté, leur langue honteuse -
N'ont pas goûté à cette amertume de ma main.
Pour eux, tu es un chiffon, en larmes,
Des lâches misérables qui supplient les Saints, à peine ayant péché.
Ton gémissement rappelle à Dieu qu'il est vivant.
Tu es une chambre de torture, ils n'ont pas besoin de chatte, tu es une chambre de torture ;
Tu es une chambre de torture, ils n'ont pas besoin de chatte, tu es une chambre de torture ;
Une chambre de torture, ils n'ont pas besoin de chatte, tu es une chambre de torture ;
Une chambre de torture, ils n'ont pas besoin de chatte, tu es une chambre de torture !