Текст и перевод песни Los Aldeanos - El Desvan

El Desvan

Hola mamá, papá,
Estoy en casa yá.
Hoy es mi ultimo día de clases,
Que hacen porque todo está, oscuro
Seguro me van a dar una sorpresa,
No devieron molestarse,
Dejen de ocultarse, me da miedo
No puedo entender que sucede,
Porque hay vidrios en el suelo y
Manchas de sangre en las paredes
A que se debe este desorden
Donde se esconden
Salgan! o tumbaré la puerta de su cuarto a golpes
Porque no responden
Quién entiende esto
Molesto me encuentro
Me abren ahora mismo o yo mismo entró

Mamá por fin te encuentro
Pero fría te siento
Nada entiendo

Papá! lo siento también está muerto
Como que muerto?
Quien eres maldito loco
Tu hermano consentido
O no sabias que habia otro?
Otro?
Si soy tu reflejo pero en un espejo roto
Como tú aseguras eso?
Silencio tengo una foto.
Ahorra tus lagrimas,
Aún queda mucho por decir
Te voy hacer el cuento
Que nunca te hicieron antes de dormir
De las mil y una noche
Un principe y un mendigo
Que no tubo un final feliz
Sino un feliz castigo
Nunca he oído hablar de tí
Ni de tanto espanto
Claro! no dirian que a tu hermano
Lanzaron por un barranco
Estuve tanto tiempo preso
En aquel desván.
Por un error genetico,
Aún recuerdo el sabor del pan viejo
Espejos de almohada y el suelo
Ventanas cerradas para que
No se asustará el cielo
De lo, horrible que era mi rostro
Haci era como actuaban tus
Angeles y mis mostruos
Uno triste que pregunto
Donde estuviste este tiempo
Ee. en aquella iglesia abandonada
Ahy en vida o muerto si.
Vida o muerto
O muerto gracias a la vida
Que solo me ha dado
Una venganza y esta despedida
Que estado preparando
Durante años
Nacimos el mismo día pero
Yo no cumplo años

Ahora que lo sé todo
Que piensas hacer
Alejarte de mi nuevamente
O matarme también
Noo
Solo que existía queria
Que supieras y que no
Eras simplemente el interior
De ellos por fuera
Ahora de mi lo que quieras
Que ellos fueron tan falsos
Que solo me queda alegrarme
Por encontrarte y darte un abrazo

Siento mucho
Mira esta es tu sueño
Esto es absurdo
Pero me hubieras dicho esto antes
Y nos hubieramos matado juntos

Recojamos esto por
Ningún modo nos separarán
Para donde lo llebamos
Que te parece al desván.

Le Grenier

Salut maman, papa,
Je suis déjà rentré.
C'est mon dernier jour de cours aujourd'hui,
Qu'est-ce qui se passe, tout est sombre ?
Je suis sûr qu'il y a une surprise pour moi,
Vous n'auriez pas dû vous embêter,
Arrêtez de vous cacher, j'ai peur.
Je ne comprends pas ce qui se passe,
Pourquoi il y a des morceaux de verre sur le sol et
Des taches de sang sur les murs ?
À quoi est dû ce désordre ?
Où vous cachez-vous ?
Sortez ! Ou je vais fracasser la porte de votre chambre à coups de poing,
Pourquoi vous ne répondez pas ?
Qui comprend ça ?
Je suis énervé.
Ouvrez tout de suite ou j'entre moi-même.

Maman, enfin je te retrouve,
Mais tu es froide au toucher.
Je ne comprends rien.

Papa ! Je suis désolé, il est mort aussi.
Comment mort ?
Qui es-tu, foutu cinglé ?
Ton frère chéri ?
Ou tu ne savais pas qu'il y en avait un autre ?
Un autre ?
Oui, je suis ton reflet, mais dans un miroir cassé.
Comment tu affirmes ça ?
Silence, j'ai une photo.
Rentre tes larmes,
Il reste beaucoup de choses à dire.
Je vais te raconter l'histoire,
Que personne ne t'a jamais racontée avant de dormir.
Des mille et une nuits.
Un prince et un mendiant,
Qui n'ont pas eu un conte de fée,
Mais un châtiment heureux.
Je n'ai jamais entendu parler de toi,
Ni de tant d'horreurs.
Bien sûr ! On ne dirait pas que ton frère,
A été jeté par-dessus bord.
J'ai été emprisonné si longtemps,
Dans ce grenier.
À cause d'une erreur génétique,
Je me souviens encore du goût du pain rassis.
Des miroirs comme oreillers et le sol,
Des fenêtres fermées pour que
Le ciel ne soit pas effrayé
De l'horreur de mon visage.
C'est ainsi que tes
Anges et mes monstres agissaient.
Un triste qui demande
Où tu étais tout ce temps,
Eh bien, dans cette église abandonnée,
Là, vivant ou mort, oui.
Vivant ou mort.
Ou mort grâce à la vie,
Qui ne m'a donné que
Une vengeance et cet adieu,
Que j'ai préparé
Pendant des années.
Nous sommes nés le même jour, mais
Je ne fête pas mon anniversaire.

Maintenant que je sais tout,
Que comptes-tu faire ?
Te retirer à nouveau de moi,
Ou me tuer aussi ?
Non.
Juste que j'existais, je voulais
Que tu saches et que tu ne sois pas
Simplement l'intérieur
D'eux par l'extérieur.
Maintenant, fais de moi ce que tu veux,
Qu'ils étaient si faux,
Que je ne peux que me réjouir
De te retrouver et de te serrer dans mes bras.

Je suis désolé.
Regarde, c'est ton rêve.
C'est absurde,
Mais tu aurais dû me dire ça avant,
Et on se serait suicidés ensemble.

Ramassons ça, car
Rien ne nous séparera.
Où on l'emmène ?
Qu'en penses-tu, au grenier ?