Текст и перевод песни Los Cadetes De Linares - 80 Cargas Suicidas

80 Cargas Suicidas

80 cargas suicidas las ordeno pancho villa

Vineron hasta el bajio donde a duelo se batian los
Dorados no fallaron fue el parque el que no servia
Villa le dice a obregon quisiera verte de frente
Sobra uno de los dos salte amorir frente afrente
Que nos e pierdan mas vidas de tanta gente inocente
Obregon no acepto el reto es hombre reconocia que saliendo pecho a
Pecho inutil jamas podria el centauro
Era hombre de armas pegaba donde el queria
Me quedan pocos dorados y la escirto a pancho villa
Yo me incluyo en un ataque al despuntar nuevo dia
Dicen que feu derrotado brinco las trincheras gringas
La gente sabe tu historia no sabes cantar en corro reposas entre los
Gandes adiso divino tesores portus
Aasañas garbaron tu nombre con letras de oro

80 Charges Suicidaires

J'ai ordonné 80 charges suicidaires, Pancho Villa.

Ils sont arrivés jusqu'au Bajío, où les Dorados se battaient en duel.
Ils n'ont pas failli, c'est le parc qui n'était pas en état.
Villa a dit à Obregón :« Je voudrais te voir en face. »
« L'un de nous deux doit mourir, face à face. »
« Que plus de vies d'innocents ne soient pas perdues. »
Obregón n'a pas accepté le défi, c'est un homme, il a reconnu que sortir poitrine contre
poitrine, le Centaure n'y arriverait jamais. »
C'était un homme d'armes, il frappait où il voulait.
Il ne me reste plus beaucoup de Dorados, et je l'écris à Pancho Villa.
Je m'inclue dans une attaque à l'aube d'un nouveau jour. »
On dit qu'il a été vaincu, qu'il a sauté les tranchées américaines.
Le peuple connaît ton histoire, tu ne sais pas chanter en chœur, tu te reposes parmi les
grands, un cadeau divin, des trésors portés.
Des exploits ont gravé ton nom en lettres d'or. »