Текст и перевод песни Los Gofiones - El Telar

El Telar

En un telar de madera
Teje mi novia su ajuar,
Quiera Dios que no sea vieja
Cuando lo vaya a acabar.
En un telar de madera
Teje mi novia su ajuar,
Quiera Dios que no sea vieja
Cuando lo vaya a acabar.
Una vez por la regleta,
Y otra vez por el pedal,
Quiera Dios que no sea vieja
Cuando lo vaya a acabar.
Telarito, mi telar,
Apura más la pasada,
Que está impaciente mi amada,
De tanto tiempo esperar.
Yo me quisiera casar
Pa′l día de San Valentín,
Y no quiero ni pensarlo
Que no me fuera a salir.
Dale que dale,
Leva que leva,
Como se mueve
La lanzadera.
También mi suegra
Dale que da...
Dale que dale
Sin terminar.
Dale que dale,
Leva que leva,
Como se mueve
La lanzadera.
También mi suegra
Dale que da...
Dale que dale
Sin terminar.
Tengo unos calzones gordos
Que mi novia me tejió,
Con la lana del borrego
Que su padre trasquiló.
Tengo unos calzones gordos
Que mi novia me tejió,
Con la lana del borrego
Que su padre trasquiló.
A la entrada del invierno,
Qué regocijo me dio
Con la lana del borrego
Que su padre trasquiló.
Telarito, mi telar,
Apura más la pasada,
Que está impaciente mi amada,
De tanto tiempo esperar.
Yo me quisiera casar
Pa'l día de San Valentín,
Y no quiero ni pensarlo
Que no me fuera a salir.
Dale que dale,
Leva que leva,
Como se mueve
La lanzadera.
También mi suegra
Dale que da...
Dale que dale
Sin terminar.
Dale que dale,
Leva que leva,
Como se mueve
La lanzadera.
También mi suegra
Dale que da...
Dale que dale
Sin terminar.

Le Métier à Tisser

Sur un métier à tisser en bois
Ma fiancée tisse son trousseau,
Que Dieu veuille qu'elle ne soit pas vieille
Quand elle le finira.
Sur un métier à tisser en bois
Ma fiancée tisse son trousseau,
Que Dieu veuille qu'elle ne soit pas vieille
Quand elle le finira.
Une fois par la lissière,
Et une autre fois par la pédale,
Que Dieu veuille qu'elle ne soit pas vieille
Quand elle le finira.
Métier à tisser, mon métier à tisser,
Accélère la passe,
Car ma bien-aimée est impatiente,
D'attendre si longtemps.
Je voudrais me marier
Le jour de la Saint-Valentin,
Et je ne veux pas y penser
Que ça ne se fasse pas.
C'est parti, c'est parti,
On y va, on y va,
Comme elle bouge
La navette.
Ma belle-mère aussi
C'est parti, c'est parti...
C'est parti, c'est parti
Sans finir.
C'est parti, c'est parti,
On y va, on y va,
Comme elle bouge
La navette.
Ma belle-mère aussi
C'est parti, c'est parti...
C'est parti, c'est parti
Sans finir.
J'ai des caleçons épais
Que ma fiancée m'a tissés,
Avec la laine du mouton
Que son père a tondu.
J'ai des caleçons épais
Que ma fiancée m'a tissés,
Avec la laine du mouton
Que son père a tondu.
A l'arrivée de l'hiver,
Quel bonheur je ressentais
Avec la laine du mouton
Que son père a tondu.
Métier à tisser, mon métier à tisser,
Accélère la passe,
Car ma bien-aimée est impatiente,
D'attendre si longtemps.
Je voudrais me marier
Le jour de la Saint-Valentin,
Et je ne veux pas y penser
Que ça ne se fasse pas.
C'est parti, c'est parti,
On y va, on y va,
Comme elle bouge
La navette.
Ma belle-mère aussi
C'est parti, c'est parti...
C'est parti, c'est parti
Sans finir.
C'est parti, c'est parti,
On y va, on y va,
Comme elle bouge
La navette.
Ma belle-mère aussi
C'est parti, c'est parti...
C'est parti, c'est parti
Sans finir.