Текст и перевод песни Los Invasores de Nuevo León - Vete Paloma

Vete Paloma

Eres paloma que yo te enseñe a volar,
En las alturas y contra las tempestades
Ahora me sales que nomas asi te vas,
Y no recuerdas que yo te cure tus males

Yo te entregaba un corazon
Que por tu amor, daba mi vida,
Vida mia sin importarme

Pero mas vale que todo haya sido asi,
Pues dice el dicho
Que al mal paso dale prisa

Yo estaba loco de amor me moria por ti
Se me olvidaba que tu eres gente rica,
Y yo que solo un trobador fui para ti,
Que daba todo ha cambio de tu sonrisa

Vete paloma vete a cruzar esos mares,
Que tantas veces a mi lado los cruzastes
Pero donde andes
As de escuchar mis cantares,
Y lloraras porque tambien tu me adorastes.

Pero mas vale que todo haya sido asi,
Pues dice el dicho
Que al mal paso dale prisa

Yo estaba loco de amor me moria por ti
Se me olvidaba que tu eres gente rica,
Y yo que solo un trobador fui para ti,
Que daba todo ha cambio de tu sonrisa

Vete paloma vete a cruzar esos mares,
Que tantas veces a mi lado los cruzastes
Pero donde andes
As de escuchar mis cantares,
Y lloraras porque tambien tu me adorastes.

Va-t'en, Colombe

Tu es la colombe que j'ai appris à voler,
Dans les hauteurs et contre les tempêtes
Maintenant tu me dis que tu pars comme ça,
Et tu ne te souviens pas que j'ai guéri tes maux

Je t'offrais un cœur
Qui pour ton amour, donnait ma vie,
Ma vie, sans me soucier de rien

Mais il vaut mieux que tout soit ainsi,
Comme le dit le proverbe
Quand le mal est fait, il faut le presser

J'étais fou d'amour, je mourrais pour toi
J'oubliais que tu es du monde riche,
Et moi, je n'étais qu'un troubadour pour toi,
Qui donnait tout en échange de ton sourire

Va-t'en, colombe, va traverser ces mers,
Que tant de fois tu as traversées à mes côtés
Mais où que tu ailles
Tu entendras mes chants,
Et tu pleureras parce que toi aussi, tu m'as adoré.

Mais il vaut mieux que tout soit ainsi,
Comme le dit le proverbe
Quand le mal est fait, il faut le presser

J'étais fou d'amour, je mourrais pour toi
J'oubliais que tu es du monde riche,
Et moi, je n'étais qu'un troubadour pour toi,
Qui donnait tout en échange de ton sourire

Va-t'en, colombe, va traverser ces mers,
Que tant de fois tu as traversées à mes côtés
Mais où que tu ailles
Tu entendras mes chants,
Et tu pleureras parce que toi aussi, tu m'as adoré.