Текст и перевод песни Los Lideres - Princesita

Princesita

Esta puede ser la Historia
De una de esas mujeres a las
Que les aman por la primera
Mala palabra que te viene
A la mente, que no ven
Mas allá de su apariencia
Aveces cuando vemos a
Alguien que supuestamente
Equivoco el camino
Un poco mas que nosotros
Nos convertimos en los
Mas crueles jueces
Así funciona la Humanidad
Así funciona la sociedad

Ella sabe de falsas promesas
De engaño llanto sin amparo
De marcas bebidas y salidas
A lugares caros, los dos lados
De la vida y saber sufrir riendo
Ella tubo que aprender a ser mujer
Antes de tiempo, ella vive ardiendo
Pero de frialdad se viste tiene la
Fuerza de cientos y la mirada de una
Niña triste, ella resiste se controla
Acompañandose a si misma
Eso abisma el prisma de una isla sola
Sola tuvo que aprenderlo todo
Buscar salidas y ganarse la vida a su modo
Se aprendio el todo o nada y a
Luchar codo con codo fingio no ser
Brillante como un diamante enterrado
En el lodo, sabe de apodos y de
Modas al detalle calcular profundo
Y manejar asuntos en la calle
Sabe hacer que quien la conozca
Nuca olvide su nombre y conoce
Mil secretos para enloquecer
A un hombre
Nadie sabe de donde, cuando y cuanto
Puede florcer su amor
De indiferencia hizo su
Escudo protector
Se comporta segun la situacion
Y el contexto porque
Porta mascaras y siempre avansa tras
Un plan maestro lo cierto es que nadie
Sabe cuantas lagrimas derrama
Nadie sabe cuan tierna y dulce
Puede ser cuando ama
Ninguno en el teatro de su vida
Aprendio la trama la miran
Solo para ver el horizonte de su cama

Princesita de un reino de acusaciones
Y cerrojos porque lo esencial es
Invisible a los ojos todos cuentan
Su Historia y nadie sabe, las miradas
No rompen las barreras del maquillaje
La flor que en el jardin con veneno estan regando
Su diario solo guarda paginas en blanco
Su apariencia y su interior no compaginan
Ella se conoce la sociedad se la imagina

Ella tiene un corazon y de pasion un mar
Una parte del alma vacia y la otra parte
De mucho para dar, una forma propia
De besar, mal Humor a veces con un
Lugar para el dolor y un mundo al que
No pertenece, ella parase ser feliz
Hasta que se estrella con la
Realidad, y se da cuenta que solo
Se tiene a ella su amor ahogado
Soledad y juventud que navega en
Sueños con diferente latitud su
Actitud sufre la esclavitud de la
Hostilidad su verdad guarda en un ataúd
La sensibilidad, es una flor sin jardinero
Pero con fragilidad oculta tras espinas
Para retirar la debilidad con facilidad
Simpre entrega mas y se siente bien
Asiendo sentir bien a los demas
Vive buscando paz y mucho mas
Ahora que su vida cambia poco a
Poco, gracias a un loco romance
A escondidas que se anida
En espacios de tiempos rectos
El tiene su Historia ella lo acepta
Y dice ok te compre con defectos
Pasan momentos entre abrasos y
Besos, hacen temblar las paredes
Suelen entregarse a algo mas que
El sexo, es un nexo que a oscuras
Fulgura y se acaba rapido dice
Que todo es magico hasta que el
Se va y ahí esta enterrando mas
Amor... avanza la niña mujer
Que aprendio todo menos perder
La esperanza.

Princesita de un reino
De acusaciones y cerrojos porque
Lo esencia es invisible a los ojos todos
Cuentan su Historia y nadie sabe
Las miradas no rompen las barreras del
Maquillaje, la flor que en el jardin con
Veneno estan regando su diario solo guarda
Paginas en blanco su apariencia y su interior
No compaginan ella se conoce
La sociedad se la imagina

Ella es la Luz que todos miran como
Noche, la rosa desojada en las esquinas
El mas bello tesoro guardado en el mas
Feos de los cofres ...
Ella se conoce la sociedad se la imagina

Princesita

Cela pourrait être l'histoire
D’une de ces femmes que l’on
Aime pour le premier
Gros mot qui nous vient
À l’esprit, qui ne voient
Pas au-delà des apparences
Parfois, lorsque nous voyons
Quelqu’un qui soi-disant
S’est trompé de chemin
Un peu plus que nous
Nous devenons les
Juges les plus cruels
C’est ainsi que fonctionne l’humanité
C’est ainsi que fonctionne la société

Elle connaît les fausses promesses
La tromperie, les larmes sans soutien
Les marques, les boissons et les sorties
Dans des endroits chers, les deux côtés
De la vie et savoir souffrir en riant
Elle a dû apprendre à être une femme
Trop tôt, elle vit en brûlant
Mais elle se vêt de froideur, elle a la
Force de centaines et le regard d'une
Petite fille triste, elle résiste, elle se contrôle
S’accompagnant elle-même
Cela engloutit le prisme d'une île déserte
Seule, elle a dû tout apprendre
Chercher des solutions et gagner sa vie à sa manière
Elle a appris le tout ou rien et à
Se battre coude à coude, elle a feint de ne pas être
Brillante comme un diamant enterré
Dans la boue, elle connaît les surnoms et les
Modes dans les moindres détails, calculer profondément
Et gérer les affaires dans la rue
Elle sait faire en sorte que celui qui la connaît
N’oublie jamais son nom et elle connaît
Mille secrets pour rendre fou
Un homme
Personne ne sait d’où, quand et combien de temps
Son amour peut s’épanouir
De l’indifférence elle a fait son
Bouclier protecteur
Elle se comporte en fonction de la situation
Et du contexte parce qu’elle
Porte des masques et avance toujours selon
Un plan directeur, la vérité est que personne
Ne sait combien de larmes elle verse
Personne ne sait à quel point elle peut être tendre et douce
Quand elle aime
Personne dans le théâtre de sa vie
N’a appris l’intrigue, on la regarde
Juste pour voir l’horizon de son lit

Petite princesse d’un royaume d’accusations
Et de verrous parce que l’essentiel est
Invisible aux yeux, tous racontent
Son histoire et personne ne sait, les regards
Ne brisent pas les barrières du maquillage
La fleur dans le jardin, ils l’arrosent de poison
Son journal ne contient que des pages blanches
Son apparence et son intérieur ne correspondent pas
Elle se connaît, la société l’imagine

Elle a un cœur et un océan de passion
Une partie de son âme vide et l’autre partie
Avec beaucoup à donner, une façon unique
D’embrasser, de la mauvaise humeur parfois avec une
Place pour la douleur et un monde auquel
Elle n’appartient pas, elle semble être heureuse
Jusqu’à ce qu’elle se heurte à la
Réalité, et qu’elle réalise qu’elle n’a que
Elle-même, son amour noyé
La solitude et la jeunesse qui naviguent en
Rêves sous différentes latitudes, son
Attitude subit l’esclavage de l’
Hostilité, sa vérité garde dans un cercueil
La sensibilité, c’est une fleur sans jardinier
Mais avec une fragilité cachée derrière des épines
Pour éliminer la faiblesse avec facilité
Elle donne toujours plus et se sent bien
En faisant du bien aux autres
Elle vit en recherchant la paix et bien plus encore
Maintenant que sa vie change petit à
Petit, grâce à une folle histoire d’amour
Secrète qui se niche
Dans des espaces-temps droits
Il a son histoire, elle l’accepte
Et dit ok, je t’ai acheté avec des défauts
Ils passent des moments entre accolades et
Bisous, ils font trembler les murs
Ils s’abandonnent souvent à quelque chose de plus que
Le sexe, c’est un lien qui dans l’obscurité
Brille et se termine rapidement, il dit
Que tout est magique jusqu’à ce qu’il
S’en aille et qu’elle soit là à enterrer plus
D’amour... avance la petite femme
Qui a tout appris sauf à perdre
L’espoir.

Petite princesse d’un royaume
D’accusations et de verrous parce que
L’essentiel est invisible aux yeux, tous
Racontent son histoire et personne ne sait
Les regards ne brisent pas les barrières du
Maquillage, la fleur dans le jardin, ils
L’arrosent de poison, son journal ne contient que
Des pages blanches, son apparence et son intérieur
Ne correspondent pas, elle se connaît,
La société l’imagine

Elle est la lumière que tout le monde regarde comme
La nuit, la rose effeuillée aux coins des rues
Le plus beau trésor gardé dans le plus
Laid des coffres...
Elle se connaît, la société l’imagine