Текст и перевод песни Los Pajaritos de Tacupa - Clave Siete

Clave Siete

En el reten de la loma, estaban 100 federales,
Preguntando por Pedrito, también por Paulino Burgos
Pero andaban despistados, le preguntaban a un mudo

Clave 7 es la consigna, de agentes y de soldados,
Ese león ya crío melena, van a tener que matarlo,
Nomás no se arriesguen mucho,
Primero hay que traicionarlo

En la ciudad de Hermosillo, hubo una concentración
También pusieron retenes, por todita la nación
Lo cierto es que los transportes, Pedrito los regalo

Le mandaron 2 agentes, que le pidieran dinero,
Veinte millones de pesos, era el precio de su cuero
Pero como era camuco, lo tomaron prisionero

Junto con dos compañeros, además dos señoritas
Los llevaron a la Y griega, era la ultima cita
Ahí los acribillaron, junto con más jovencitas

Desde ese día inolvidable, no rola tanto dinero,
Y unos agentes traidores, ahora estrenan carro nuevo,
Y un hombre en Guadalajara, no duerme de puro miedo

Adiós señor comandante, aquí lo llevo en mi lista
Usted me echo por delante, ahí lo espero en la revista
Ya que tumbo mi panal, ahora toree las avispas

Mis armas no las entrego, van a quedar en el cerro,
Yo no me fio de esa gente, que la deslumbra el dinero,
Ya murió el león de la sierra, venga a quitarle el cuero

Adiós todos mis amigos, del valle de Culiacán,
Ninguna ley del gobierno, mi nombre podrá cambiar
Me llamo Pedro Aviles, no se les vaya a olvidar

Clave Siete

Dans le poste de contrôle sur la colline, il y avait 100 fédéraux,
Qui demandaient après Pedrito, et aussi après Paulino Burgos
Mais ils étaient sur la mauvaise piste, ils ont posé la question à un muet

Clave 7 est le mot de passe, des agents et des soldats,
Ce lion a déjà une crinière, il va falloir le tuer,
Ne prends pas trop de risques,
Il faut d'abord le trahir

Dans la ville d'Hermosillo, il y a eu une concentration
Ils ont également mis en place des postes de contrôle, dans toute la nation
La vérité est que les transports, Pedrito les a donnés

Ils ont envoyé deux agents, qui lui ont demandé de l'argent,
Vingt millions de pesos, c'était le prix de sa peau
Mais comme il était rusé, ils l'ont pris en prison

Avec deux compagnons, et aussi deux femmes
Ils les ont emmenés au Y griega, c'était le dernier rendez-vous
Ils les ont abattus là-bas, avec d'autres jeunes femmes

Depuis ce jour inoubliable, il n'y a plus autant d'argent qui circule,
Et quelques agents traîtres, ont maintenant une nouvelle voiture,
Et un homme à Guadalajara, ne dort pas de peur

Au revoir monsieur le commandant, je te tiens sur ma liste
Tu m'as jeté en avant, je t'attends dans l'examen
Maintenant que tu as détruit mon nid, affronte maintenant les guêpes

Je ne remets pas mes armes, elles resteront sur la colline,
Je ne fais pas confiance à ces gens, qui sont aveuglés par l'argent,
Le lion de la sierra est mort, viens lui enlever sa peau

Au revoir à tous mes amis, de la vallée de Culiacán,
Aucune loi du gouvernement, ne pourra changer mon nom
Je m'appelle Pedro Aviles, ne l'oublie pas