Текст и перевод песни Los Palmeras - A la mujer que tanto amé

A la mujer que tanto amé

Todo fue un cuento de mil una noches
Solo un poema de amor y ternura
Nos envidiaba hasta el mar que jugaba
A esconderse allá en las dunas
Tanto vagar por las noches de luna
Era un andar por arenas doradas
Eran dos almas de amor entregadas
Que de quererse jamás
Se cansaban
Tuvo en la arena su lecho de espuma
Que hizo por techo un cielo estrellado
Y aun que fue mía una noche en verano
Ya rendida me engañaba
Todo fue engaño y falsas promesas
Solo mentiras que lindas mentiras
Era su cuerpo cual fruta de mayo
Que en otros brazos también maduraba
Donde estás ahora
Mujer que tanto amé
Tu risa mañanera
Sigue despertándome
Si al volver dijeras
Olvido no logré
Mi razón diría
Mientes, mientes
Mientes
Eres mujer

À la femme que j'ai tant aimée

Tout était un conte de mille et une nuits
Seulement un poème d'amour et de tendresse
Même la mer qui jouait nous enviait
À se cacher là dans les dunes
Tant errer dans les nuits de lune
C'était marcher sur des sables dorés
C'étaient deux âmes d'amour livrées
Qui ne se lassaient jamais de s'aimer
Se lassaient
Elle avait dans le sable son lit de mousse
Qui a fait un ciel étoilé pour toit
Et bien que j'aie été à toi une nuit d'été
Tu me trompais déjà en te rendant
Tout était tromperie et fausses promesses
Seulement des mensonges, mais de beaux mensonges
Ton corps était comme un fruit de mai
Qui mûrissait aussi dans d'autres bras
Où es-tu maintenant
Femme que j'ai tant aimée
Ton rire matinal
Continue de me réveiller
Si en retournant tu disais
Je n'ai pas réussi à oublier
Ma raison dirait
Tu mens, tu mens
Tu mens
Tu es une femme