Текст и перевод песни Los Tigres del Norte - Manos Unidas

Manos Unidas

De Guatemala a la Antigua, relicario del camino
Me voy a San salvador, a saludar a un amigo
Un soldado valeroso, en busca de su destino
En cuanto dejen las armas, estarán en el camino
Nicaragua tiene todo, tiene para dar y para prestar
Pero esta mal colocado y en eso estriba su mal
Porque algunos tienen mucho, y muchos no tienen nada
No te metas en Honduras, padecen del mismo mal
Mi Costa Rica hermosa, esperanza de la paz
Le vienen vientos calientes, que vienen de Panamá
El que une los océanos, usando un simple canal
Antes del año 2000, solos se administraran,
De ahí tomamos la cuesta, de los Andes más arriba
Es Santa Cruz de la sierra, el orgullo de Bolivia
Uruguay y Paraguay lucen un cielo celeste
Pero allá en el Ecuador, esta la punta del este
Colombianos y Peruanos, aman con amor profundo
El verde oro de Brasil, tiene ríos y mar profundos
Que irriga las Amazonas, llamado el pulmón del mundo
La salvas y vi a los mares porque es un calor fecundo
Alguien me hablo de gigantes, allá en la Isla de Pascua
Esos gigantes de piedra, son historia que no pasa
Por encima de esas piedras, el tiempo no pasara
De la hermosa Venezuela, yo saludo al Canadá
En esa Dominicana, se ven brillar las estrellas
También los Puertorriqueños nos presumen islas bellas
Argentina tiene historia, fluye por un Río de Plata
Adelante Buenos Aires, el tango es una esperanza
Haitianos y Jamaiquinos, Beliceños y Cubanos
No han atrapado la barca del gran sueño americano
Los gobiernos dictadores, hacen pelar los hermanos
Del Caribe a la Florida muchos sueños se han truncado,
México fuente seguro, es de quien de su mano franca
Polo Sur y Polo Norte, solo el agua los separa,
Si no señalas la raza, no morir a la esperanza
Únanse bien de las manos, y verán cuanta bonanza

Mains Unies

Du Guatemala à l'Antigua, reliquaire du chemin
Je vais à San Salvador, saluer un ami
Un soldat courageux, en quête de son destin
Dès qu'ils déposeront les armes, ils seront sur le chemin
Le Nicaragua a tout, il a à donner et à prêter
Mais il est mal placé et c'est là que réside son mal
Parce que certains ont beaucoup, et beaucoup n'ont rien
Ne t'immisce pas dans les Honduras, ils souffrent du même mal
Mon Costa Rica magnifique, espoir de la paix
Des vents chauds lui viennent, qui viennent du Panama
Celui qui relie les océans, en utilisant un simple canal
Avant l'an 2000, ils s'administreront seuls,
De là, nous prenons la côte, des Andes plus haut
C'est Santa Cruz de la Sierra, la fierté de la Bolivie
L'Uruguay et le Paraguay ont un ciel bleu
Mais là-bas, en Équateur, se trouve la pointe de l'est
Colombiens et Péruviens, aiment avec un amour profond
Le vert or du Brésil, a des rivières et des mers profondes
Qu'irriguent les Amazones, appelées le poumon du monde
Je salue les mers parce que c'est une chaleur féconde
Quelqu'un m'a parlé de géants, là-bas sur l'île de Pâques
Ces géants de pierre, sont une histoire qui ne passe pas
Au-dessus de ces pierres, le temps ne passera pas
De la belle Venezuela, je salue le Canada
Dans cette République Dominicaine, on voit briller les étoiles
Les Portoricains aussi nous vantent de belles îles
L'Argentine a de l'histoire, qui coule dans un Rio de la Plata
Vas-y Buenos Aires, le tango est une espérance
Haïtiens et Jamaïcains, Bélizéens et Cubains
N'ont pas attrapé la barque du grand rêve américain
Les gouvernements dictatoriaux, font se battre les frères
Des Caraïbes à la Floride, de nombreux rêves ont été brisés,
Le Mexique, source sûre, est de ceux qui ont une main franche
Pôle Sud et Pôle Nord, seule l'eau les sépare,
Si tu ne désignes pas la race, ne meurs pas à l'espérance
Unissez-vous bien les mains, et vous verrez quelle aubaine