Текст и перевод песни Los Tucanes de Tijuana - Socias De La Mafia

Socias De La Mafia

Murió el Dr. Fonseca, pero no murió su hermana
La que traían en la lista no lograron acabarla
Le dieron 15 balazos la nena logro salvarla

La chocha le habló a la nena Le dijo donde cenaban,
Cuando la nena llegó Ya la encontró balaceada
Logró salvarle la vida hoy trabajan asociadas.

De Jalisco a Culiacán, de Culiacán Tijuana
Transportan chiva y coca y de pilón marihuana
Se la cambian a los gringos por puros cueros de rana

La chocha trae r15, la nena cuerno de chivo
Todo aquel que se atraviesa, lo despedazan a tiros
La droga nunca se pierde, siempre llega a su destino.

Una vez las detuvieron al salir de Culiacán
En el mero malecón las rodeo la policía
Iban cargadas de droga que llevaban a entregar

La nena dice a la chocha esto ya lo presentía
Pero a mi cuerno le encanta quebrarse a los policías
Y la chocha le contesta pues mi rf15 me guía

Abrieron fuego de pronto, la ley no se lo esperaba
Cayendo todos al suelo con la cara destrozada
Nunca se quieran poner con Sanzon a las patadas.

Associées de la mafia

Le Dr. Fonseca est mort, mais sa sœur n'est pas morte.
Ils n'ont pas réussi à la tuer, elle était sur leur liste.
Ils lui ont tiré dessus 15 fois, la petite a réussi à s'en sortir.

La « vieille » a parlé à la petite, elle lui a dit où ils dînaient.
Quand la petite est arrivée, elle l'a trouvée blessée par balles.
Elle a réussi à lui sauver la vie, aujourd'hui elles travaillent ensemble.

De Jalisco à Culiacán, de Culiacán à Tijuana.
Elles transportent de la marijuana et de la cocaïne, et en prime, de la marijuana.
Elles les échangent contre des peaux de grenouille pour les Américains.

La « vieille » a une R15, la petite a un fusil d'assaut.
Tous ceux qui se mettent en travers de leur chemin sont abattus.
La drogue ne se perd jamais, elle arrive toujours à destination.

Une fois, elles ont été arrêtées en quittant Culiacán.
Sur le malecon, la police les a encerclées.
Elles étaient chargées de drogue qu'elles devaient livrer.

La petite dit à la « vieille » : « Je le sentais venir ».
« Mais mon fusil d'assaut aime bien briser les os des policiers ».
Et la « vieille » répond : « Ma R15 me guide ».

Elles ont ouvert le feu soudainement, la loi ne s'y attendait pas.
Tous sont tombés au sol, le visage déchiqueté.
Ne vous mettez jamais en travers de Sanzon.