Текст и перевод песни Luter feat. Isusko - Misión a Marte

Misión a Marte

Luter
Algún día entenderás, el puzle que es mi vida
Y la huella que dejé en el cemento sin pisar,
Fui un ingenuo por el bien del mundo,
No por el de unos pocos, que querían decidir
Creo que viene siguiéndome, la guardia civil
He venido a contaros la verdad.

Yo, recuerdo que nuestro amor,
Fue como aquella película de Allen por Manhattan,
Sopla la lluvia y ron,
Estate quieta me matas,
Un hombre tiene la edad de la mujer que le abraza.

Libre, sigo siendo libre
Porque los marcianos, no tenemos frío
Y he crecido con el ruido, de las calles de babel,
Lo que se compra importa poco vuela,
Ya nos las arreglaremos para no seguir aquí
Viendo cómo se hacen viejos los colores del parchís.
La incertidumbre da mucha felicidad.

Yo, recuerdo que nuestro amor
Fue como aquella película, de Allen por Manhattan
Sopla la lluvia y ron,
Estate quieta me matas
Un hombre tiene la edad de la mujer, que lo abraza
Yo no, yo no, yo no, quiero perderte
Yo no, yo no, yo no, quiero perderte.

A veces se para el tiempo, cuando me empeño en comprender,
Que estábamos marcados por nuestro reflejo
Era mi espacio, o el tuyo, porque los hombres nacen de pie
Creí que nuestro amor, también sería eterno.
La historia es un boceto, sin lienzo ni papel
Y lo usaste sobre el sol, para el invierno
Todo lo que quieres es, llegar a ser sin ser
Hay que confiar en uno mismo, aunque haga frio. Me niego...

Isusko.
Hace tanto tiempo que no hablamos, que no se por que empezar
Quizá fue tu tonto orgullo el que no me dejo llamar
Y ahora no se en que pensar, como volver a empezar
Dijiste: "pa vencer el miedo al agua, debía lanzarme al mar"
Y aquí estoy, que mejo, que decirlo cantando
Expresar con letras lo que no haré llorando(te vas)
Para que echarte de menos, yo se que la gente viene y va
Estuve enfadado con la vida, ella quita y da
Que nunca rompí una promesa, estoy encerrado
No puedo envejecer, juré que lo haría a tu lado
Solo queda el reflejo de lo que fuimos, ahora míranos
Viviendo en un quizás eterno, muriendo entre el si y el no
Inhalación, exhalación. ¿Quién dicta el tic tac de cada pulsación?
A cada arrepentida de este homicida corazón
Pa vencerla tuve que caer en la tentación
No busques la razón, sopla la lluvia y ron
Yo se que todo cambia, y también se
Que lo que siento no ha cambiado y ¿sabes porque?
Porque estamos mirándonos, y sin saber porque
Porque no haré una canción, de lo que pudo haber sido y no fue.

Mission sur Mars

Luter
Un jour, tu comprendras, le puzzle qu'est ma vie
Et l'empreinte que j'ai laissée dans le béton sans marcher,
J'ai été un naïf pour le bien du monde,
Pas pour celui de quelques-uns, qui voulaient décider
Je crois que la garde civile me suit,
Je suis venu vous raconter la vérité.

Je me souviens de notre amour,
C'était comme ce film d'Allen à Manhattan,
Le vent souffle la pluie et le rhum,
Reste tranquille, tu me tues,
Un homme a l'âge de la femme qui l'embrasse.

Libre, je suis toujours libre
Parce que les Martiens, on n'a pas froid
Et j'ai grandi avec le bruit, des rues de Babel,
Ce qui s'achète importe peu, ça vole,
On trouvera un moyen de ne pas rester ici
En regardant les couleurs du jeu de l'oie vieillir.
L'incertitude apporte beaucoup de bonheur.

Je me souviens de notre amour
C'était comme ce film, d'Allen à Manhattan
Le vent souffle la pluie et le rhum,
Reste tranquille, tu me tues
Un homme a l'âge de la femme, qui l'embrasse
Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas, te perdre
Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas, te perdre.

Parfois le temps s'arrête, quand je m'obstine à comprendre,
Que nous étions marqués par notre reflet
C'était mon espace, ou le tien, parce que les hommes naissent debout
J'ai cru que notre amour, serait aussi éternel.
L'histoire est une esquisse, sans toile ni papier
Et tu l'as utilisé sur le soleil, pour l'hiver
Tout ce que tu veux c'est, devenir sans être
Il faut avoir confiance en soi, même s'il fait froid. Je refuse...

Isusko.
Il y a tellement longtemps que nous n'avons pas parlé, que je ne sais pas par où commencer
C'est peut-être ton orgueil idiot qui ne m'a pas laissé t'appeler
Et maintenant je ne sais pas à quoi penser, comment recommencer
Tu as dit : "pour vaincre la peur de l'eau, il faut se jeter à la mer"
Et me voilà, mieux vaut, le dire en chantant
Exprimer avec des mots ce que je ne ferai pas en pleurant (tu pars)
Pour que tu me manques, je sais que les gens vont et viennent
J'étais fâché contre la vie, elle prend et donne
Que je n'ai jamais rompu une promesse, je suis enfermé
Je ne peux pas vieillir, j'ai juré que je le ferais à tes côtés
Il ne reste que le reflet de ce que nous étions, regarde-nous maintenant
Vivants dans un peut-être éternel, mourant entre le oui et le non
Inspiration, expiration. Qui dicte le tic-tac de chaque pulsation ?
A chaque repentir de ce cœur homicidaire
Pour la vaincre, j'ai dû succomber à la tentation
Ne cherche pas la raison, le vent souffle la pluie et le rhum
Je sais que tout change, et aussi
Que ce que je ressens n'a pas changé et sais-tu pourquoi ?
Parce que nous nous regardons, et sans savoir pourquoi
Parce que je ne ferai pas une chanson, de ce qui aurait pu être et n'a pas été.