Текст и перевод песни Lynda - Il Me Dit Que Je Suis Belle

Il Me Dit Que Je Suis Belle

Et quand le temps se lasse
De n′être que tué
Plus une seconde passe
Dans les vies d'uniformités
Quand de peine en méfiance
De larmes en plus jamais
Puis de dépit en défiance
On apprend à se résigner
Viennent les heures sombres
Où tout peut enfin s′allumer
Où quand les vies ne sont plus qu'ombres
Restent nos rêves à inventer
Il me dit que je suis belle
Et qu'il n′attendait que moi
Il me dit que je suis celle
Juste faite pour ses bras
Il parle comme on caresse
Des mots qui n′existent pas
De toujours et de tendresse
Et je n'entends que sa voix
Des mensonges et des bêtises
Qu′un enfant ne croira pas
Mais les nuits sont mes églises
Dans mes rêves j'y crois
Éviter les regards
De cet air absent
Celui qu′ont les gens sur les boulevards
Cet air qui les rend transparents
Apprendre à tourner les yeux
Devant les gens qui s'aiment
Éviter tous ceux qui marchent à deux
Ceux qui s′embrassent à perdre haleine
Y a-t-il un soir, un moment
Où l'on se dit c'est plus pour moi
Tous les mots doux, les coups de sang
Mais dans mes rêves, j′y ai droit
Il me dit que je suis belle
Et qu′il n'attendait que moi
Il me dit que je suis celle
Juste faite pour ses bras
Des mensonges et des bêtises
Qu′un enfant ne croira pas
Mais les nuits sont mes églises
Et dans mes rêves j'y crois
Il me dit que je suis belle
Je le vois courir vers moi
Ses mains me frôlent et m′entraînent
C'est beau comme au cinéma
Plus de trahison, de peines
Mon scénario n′en veut pas
Il me dit que je suis reine
Et pauvre de moi, j'y crois
Pauvre de moi, j'y crois
Il me dit que je suis belle
Je le vois courir vers moi
Ses mains me frôlent et m′entraînent
C′est beau comme au cinéma
Plus de trahison, de peines
Mon scénario n'en veut pas
Il me dit que je suis reine
Et pauvre de moi, j′y crois
Pauvre de moi, j'y crois
Il me dit que je suis belle

He Tells Me I'm Beautiful

When time grows weary
Of merely being killed
Not a second passes by
In the lives of conformity
When from sorrow to suspicion
From never again to tears
Then from spite to defiance
We learn to resign ourselves
The dark hours come
When everything can finally light up
When lives are nothing but shadows
Our dreams remain to be invented
He tells me I'm beautiful
And that he was waiting only for me
He tells me that I'm the one
Made just for his arms
He speaks like one caresses
Words that don't exist
Of forever and tenderness
And I hear nothing but his voice
Lies and nonsense
That a child wouldn't believe
But the nights are my churches
In my dreams I believe it
Avoiding the gazes
Of that absent air
The one that people have on the boulevards
That air that makes them transparent
Learning to turn away
From people who love each other
Avoiding all those who walk two by two
Those who embrace to the point of breathlessness
Is there an evening, a moment
When we tell ourselves it's not for me anymore
All the sweet words, the hot flashes
But in my dreams, I deserve it
He tells me I'm beautiful
And that he was waiting only for me
He tells me that I'm the one
Made just for his arms
Lies and nonsense
That a child wouldn't believe
But the nights are my churches
And in my dreams I believe it
He tells me I'm beautiful
I see him running towards me
His hands brush against me and carry me away
It's beautiful like in the cinema
No more betrayal, no more pain
My screenplay doesn't want it
He tells me I'm a queen
And poor me, I believe it
Poor me, I believe it
He tells me I'm beautiful
I see him running towards me
His hands brush against me and carry me away
It's beautiful like in the cinema
No more betrayal, no more pain
My screenplay doesn't want it
He tells me I'm a queen
And poor me, I believe it
Poor me, I believe it
He tells me I'm beautiful