Текст и перевод песни MC Frontalot - Just Once

Just Once

Just once, I don't want to hump tonight.
Why can't we hang out and talk? Pie
Is a delightful treat. Let's share a slice together.
Then you and I can say goodnight
And wander into a dream.

Just once, I don't want to kiss and hug tonight
On the rug by the side of some firelight.
Glass of wine, soft music, the whole nine yards.
You shuffle Kama Sutra Illustrated tarot cards.
You sing, "Tough luck, buddy, this is your fate."
Then you render prediction: that you and I are to mate,
That it'll be great. You point out: it always is.
So I should take off my clothes, so you can give me the biz.
I say Ms., please tarry, desist for a spell.
You know that you're my very number one mademoiselle,
And I'm luckier than I can describe
To have a woman of your caliber ever give me the eye.
Still, try to see it from my position:
You have such a high sexiness coefficient,
And though the flesh is willing, my spirit is weak.
I keep imagining an evening when I don't get freaked.

Why can't we just hold hands at the cinema?
We hump twice in the handicap stall, minimum,
Before the previews roll, then the popcorn, hole
In the bottom. Subtleties: these are not 'em.
The keys: glad I brought 'em. You're cuffing yourself
To the custodial closet's utility shelf.
Futility melts into purpose: I play the warden one more time.
You're inordinately fine.
Now by my measurements, you've had a few O's.
Why don't we just treasure it, cuddle and rub noses,
Put clothes on and on and don't stop till we're totally clad.
Then my soul could be glad,
To have a moment in your company without all the moans,
Maybe replenish some ATP, settle our bones.
Dulcet tones: share feelings, ideas, and views.
How come you want me for my body when my brain is so huge?

Juste une fois

Juste une fois, je n'ai pas envie de te sauter dessus ce soir.
Pourquoi on ne pourrait pas simplement se détendre et parler ? La tarte
est un délice. Partageons-en une part ensemble.
Ensuite, on pourra se dire bonne nuit
et s'évader dans un rêve.

Juste une fois, je n'ai pas envie de t'embrasser et de te serrer dans mes bras ce soir
sur le tapis, près du feu.
Un verre de vin, de la musique douce, tout le tralala.
Tu mélanges les cartes du tarot illustré Kama Sutra.
Tu chantes : « Pas de chance, mon pote, c'est ton destin. »
Puis tu prononces une prédiction : que tu vas me sauter dessus,
que ce sera génial. Tu insistes : c'est toujours le cas.
Alors je devrais enlever mes vêtements pour que tu me prennes.
Je te dis : « Ma belle, attends un peu, arrête-toi un instant. »
Tu sais que tu es ma chérie numéro un,
et j'ai plus de chance que je ne peux le décrire
d'avoir une femme de ton calibre qui me lance un regard.
Essaie quand même de comprendre mon point de vue :
Tu as un coefficient de sexiness tellement élevé,
et même si la chair est faible, mon esprit est faible.
J'imagine sans cesse une soirée où je ne serais pas paniqué.

Pourquoi on ne pourrait pas simplement se tenir la main au cinéma ?
On se saute dessus deux fois dans les toilettes handicapés, minimum,
avant que les bande-annonces ne commencent, puis le pop-corn, trou
en bas. Subtilités : ce n'est pas ça.
Les clés : heureux de les avoir apportées. Tu t'attaches
à l'étagère de rangement du placard de ménage.
La futilité se transforme en but : je joue le rôle du gardien une fois de plus.
Tu es incroyablement belle.
D'après mes mesures, tu as eu quelques O.
Pourquoi on ne pourrait pas simplement savourer le moment, se blottir et se frotter le nez,
mettre des vêtements et ne pas s'arrêter tant qu'on n'est pas complètement habillés.
Alors mon âme pourrait être heureuse,
d'avoir un moment en ta compagnie sans tous ces gémissements,
peut-être refaire le plein d'ATP, calmer nos os.
Des tons doux : partager des sentiments, des idées et des points de vue.
Pourquoi tu me veux pour mon corps alors que mon cerveau est si gros ?