Текст и перевод песни maNga - Hepsi Bir Nefes

Hepsi Bir Nefes

Ey kör anla; bu yer bu gök boş
Bırak onu bunu gönlünü hoş tut hoş
Şu durmadan dağılan alemde
Hepsi, hepsi bir nefestir
Gerisi boştur boş
Dünya ne verdi ki baksana; hep acı, hep dert
Boşver dünde kalsın o acılar dinecek bir gün elbet
Yıllar günler gibi akmaya başladığında
Kaldır kadehini sen de şairin satırlarına
Şu üç günlük dünyada
Ey kör anla; bu yer bu gök boş
Bırak onu bunu gönlünü hoş tut hoş
Şu durmadan dağılan alemde
Hepsi, hepsi bir nefestir
Gerisi boştur boş
Dünya ne verdi ki baksana; hep acı hep dert
Ama ne acı kalacak ne de dert perde kapanınca
Zevk almayı öğrenmek gerek çok geç olmadan
Kaldır kadehini sen de şairin satırlarına
Şu üç günlük dünyada
Ey kör anla; bu yer bu gök boş
Bırak onu bunu gönlünü hoş tut hoş
Şu durmadan dağılan alemde
Hepsi, hepsi bir nefestir
Geriside boş
Ey kör anla; bu yer bu gök boş
Bırak onu bunu gönlünü hoş tut hoş
Şu durmadan dağılan alemde
Hepsi, hepsi bir nefestir
Gerisi boştur boş
Hepsi, hepsi bir nefes
Bir nefesdir alacağan
Hepsi bir nefes
Hepsi, hepsi bir nefes
Bir nefesdir alacağan
Hepsi bir nefes
Hepsi, hepsi bir nefes
Bir nefesdir alacağan
Hepsi bir nefes
Hepsi, hepsi bir nefes
Hepsi, hepsi h-h-hepsi bir nefes
Hepsi, hepsi bir nefes
Bir nefesdir alacağan
Hepsi bir nefes
Hepsi, hepsi bir nefes
Hepsi, hepsi h-h-hepsi bir nefes
Ey kör anla; bu yer bu gök boş
Bırak onu bunu gönlünü hoş tut hoş
Şu durmadan dağılan alemde
Hepsi, hepsi bir nefestir
Gerisi boştur boş
Ey kör anla; bu yer bu gök boş
Bırak onu bunu gönlünü hoş tut hoş
Şu durmadan dağılan alemde
Hepsi, hepsi bir nefestir
Gerisi boştur boş

Tout n'est qu'un souffle

Ô aveugle, comprends : cette terre, ce ciel, c’est du vide
Laisse cela, laisse ceci, rends ton cœur heureux
Dans ce monde qui se désagrège sans cesse
Tout, tout n’est qu’un souffle
Le reste est vide, vide
Que t’a donné le monde ? Regarde : que de la douleur, que des soucis
Oublie, laisse ces douleurs s’effacer un jour, c’est sûr
Quand les années commencent à couler comme des jours
Lève ta coupe, toi aussi, aux vers du poète
Dans ce monde de trois jours
Ô aveugle, comprends : cette terre, ce ciel, c’est du vide
Laisse cela, laisse ceci, rends ton cœur heureux
Dans ce monde qui se désagrège sans cesse
Tout, tout n’est qu’un souffle
Le reste est vide, vide
Que t’a donné le monde ? Regarde : que de la douleur, que des soucis
Mais ni la douleur ni les soucis ne resteront quand le rideau tombera
Il faut apprendre à savourer avant qu’il ne soit trop tard
Lève ta coupe, toi aussi, aux vers du poète
Dans ce monde de trois jours
Ô aveugle, comprends : cette terre, ce ciel, c’est du vide
Laisse cela, laisse ceci, rends ton cœur heureux
Dans ce monde qui se désagrège sans cesse
Tout, tout n’est qu’un souffle
Le reste est vide aussi
Ô aveugle, comprends : cette terre, ce ciel, c’est du vide
Laisse cela, laisse ceci, rends ton cœur heureux
Dans ce monde qui se désagrège sans cesse
Tout, tout n’est qu’un souffle
Le reste est vide, vide
Tout, tout n’est qu’un souffle
Un souffle que l’on va prendre
Tout n’est qu’un souffle
Tout, tout n’est qu’un souffle
Un souffle que l’on va prendre
Tout n’est qu’un souffle
Tout, tout n’est qu’un souffle
Un souffle que l’on va prendre
Tout n’est qu’un souffle
Tout, tout n’est qu’un souffle
Tout, tout, tout n’est qu’un souffle
Tout, tout n’est qu’un souffle
Un souffle que l’on va prendre
Tout n’est qu’un souffle
Tout, tout n’est qu’un souffle
Tout, tout, tout n’est qu’un souffle
Ô aveugle, comprends : cette terre, ce ciel, c’est du vide
Laisse cela, laisse ceci, rends ton cœur heureux
Dans ce monde qui se désagrège sans cesse
Tout, tout n’est qu’un souffle
Le reste est vide, vide
Ô aveugle, comprends : cette terre, ce ciel, c’est du vide
Laisse cela, laisse ceci, rends ton cœur heureux
Dans ce monde qui se désagrège sans cesse
Tout, tout n’est qu’un souffle
Le reste est vide, vide