Текст и перевод песни Marc Lavoine - On N' Ira Jamais A Venise

On N' Ira Jamais A Venise

(Fabrice Aboulker/Marc Lavoine)

Toi, tu prends tes cliques, tes clés, tu prends ta liberté.
Tu descends l'escalier, tu prends ton temps, relax.
Tu attends que ça passe, tu r'fais le monde en face.
Moi, je compte les aéroplanes, les soleils, les dunes et les caravanes.
Moi, je compte les années qui fanent comme des fleurs.

On n'ira jamais à Venise, y'a plus qu'du vent dans nos valises.
Y'a plus d'câlins qui s'éternisent au temps des cerises.
On n'ira jamais à Venise pour un caillou sur le pare-brise.
Les amoureux, aussi, se brisent au temps des cerises.

Toi, tu prends tes pulls, tes châles, sans mot, tu fais tes malles.
J'étais juste une escale, tu r'fais ton lit ailleurs.
Tu fais comme si de rien, tu te répares le coeur.
Moi, je compte les aéroplanes, les soleils, les dunes et les caravanes.
Moi, je compte les années qui fanent pour m'endormir.

On n'ira jamais à Venise, y'a plus qu'du vent dans nos valises.
Y'a plus d'câlins qui s'éternisent au temps des cerises.
On n'ira jamais à Venise pour un caillou sur le pare-brise.
Les amoureux, aussi, se brisent au temps des cerises.
On n'ira jamais à Venise, y'a plus qu'du vent dans nos valises.
Y'a plus d'câlins qui s'éternisent au temps des cerises.
On n'ira jamais à Venise pour un caillou sur le pare-brise.
Les amoureux, aussi, se brisent au temps des cerises.

We're Never Going to Venice

(Fabrice Aboulker/Marc Lavoine)

You pack your bags and keys, take your freedom.
You take the stairs, take your time, relax.
You wait for it to pass, you redo the world in front.
I count the planes, the suns, the dunes, and the caravans.
I count the years that fade like flowers.

We're never going to Venice, there's nothing but wind in our suitcases.
There are no more hugs that linger in the time of cherries.
We're never going to Venice for a pebble on the windshield.
Lovers, too, break in the time of cherries.

You pack your sweaters, your shawls, without a word, you pack.
I was just a stopover, you're making your bed elsewhere.
You act like nothing happened, you're mending your heart.
I count the planes, the suns, the dunes, and the caravans.
I count the years that fade to fall asleep.

We're never going to Venice, there's nothing but wind in our suitcases.
There are no more hugs that linger in the time of cherries.
We're never going to Venice for a pebble on the windshield.
Lovers, too, break in the time of cherries.
We're never going to Venice, there's nothing but wind in our suitcases.
There are no more hugs that linger in the time of cherries.
We're never going to Venice for a pebble on the windshield.
Lovers, too, break in the time of cherries.