Текст и перевод песни Marc Scibilia - Bittersweet

Bittersweet

Sold the little green house in the old neighborhood
Kids needed space
Found an acre and a half, four bed, three bath
It's pretty great
Me and Mike used to run every morning
He's twice as fast and he's forty
We'd talk about music and Jesus
He always slows down for me

I'm gonna miss this place
And all the friends we made
I always thought that I'd be glad to say goodbye
When you find a dream, then you finally see
That it's bittersweet, like everything

That black velvet couch from my single days
Sit down, you might never get up
If it could talk, it would tell you all the girls I laid
And it would say basically none
I know that bookshelf is cheap pine
Bought it when I was twenty five
It might not be worth saving
But I don't want to replace it

I'm gonna miss this place
And all the friends we made
I always thought that I'd be glad to say goodbye
When you find a dream, then you finally see
That it's bittersweet, like everything

Wish I could go back in time
When my dog and my dad were alive
Running through Veteran's Park
I would tell my younger self it's paradise
I still got the taste in my mouth
Of that Lagavulin shot going down
To the tears on my cheek when I held you near me
I see it clearly now

God, I miss those days
Why'd I wish 'em away?
Why'd I close my eyes, and pray from better times?
I'm holding on to you, keep holding on to me
The taste of bittersweet, in everything

Doux-amer

J'ai vendu la petite maison verte dans le vieux quartier
Les enfants avaient besoin d'espace
On a trouvé un hectare et demi, quatre chambres, trois salles de bain
C'est plutôt bien
Mike et moi, on courait tous les matins
Il est deux fois plus rapide et il a quarante ans
On parlait de musique et de Jésus
Il ralentit toujours pour moi

Cet endroit va me manquer
Et tous les amis qu'on s'est faits
J'ai toujours pensé que je serais content de dire au revoir
Quand tu trouves un rêve, alors tu vois enfin
Que c'est doux-amer, comme tout

Ce canapé en velours noir de mon époque de célibataire
Assieds-toi, tu pourrais ne jamais te relever
S'il pouvait parler, il te dirait toutes les filles que j'ai embrassées
Et il dirait quasiment aucune
Je sais que cette bibliothèque est en pin bon marché
Je l'ai achetée quand j'avais vingt-cinq ans
Elle ne vaut peut-être pas la peine d'être gardée
Mais je ne veux pas la remplacer

Cet endroit va me manquer
Et tous les amis qu'on s'est faits
J'ai toujours pensé que je serais content de dire au revoir
Quand tu trouves un rêve, alors tu vois enfin
Que c'est doux-amer, comme tout

J'aimerais pouvoir remonter le temps
Quand mon chien et mon père étaient encore vivants
Courir à travers Veteran's Park
Je dirais à mon jeune moi que c'est le paradis
J'ai encore le goût dans la bouche
De ce verre de Lagavulin qui descend
Des larmes sur ma joue quand je te tenais près de moi
Je le vois clairement maintenant

Mon Dieu, ces jours me manquent
Pourquoi les ai-je souhaités loin de moi ?
Pourquoi ai-je fermé les yeux et prié pour des temps meilleurs ?
Je me raccroche à toi, continue à te raccrocher à moi
Le goût du doux-amer, en toute chose