Текст и перевод песни Marc Seguí - Pijama

Pijama

Yao, yao, yao, yao
Yao, yao, yao, yao, yao, yao
Hmm-hmm, hmm

Ya no me quedan ganas
De levantarme a parar la alarma
Y salir a ver qué tiempo hace esta mañana
Que estoy fuma'o, tira'o en la cama en pijama (eh)
Ya no me quedan ganas
De levantarme a parar la alarma
Y salir a ver qué tiempo hace esta mañana
Que estoy fuma'o, tira'o en la cama en pijama (eh)

Sueño que le pego a mi jefe
Te llamaría, pero no me apetece
Todo que lo riegas, florece
Pero se te ahoga si lo haces muchas veces

Y ella me lo botaba a lo lámpara de Pixar
Con unas mallas puestas, en plan vuelta ciclista
Yo no me levantaba ni pa' sacar la pizza
Y ahora me da más miedo que volver al dentista

Y to's con zapatillas, brillas
Y me das tanta morriña
Que vuelvo a Mallorca y no es tan azulado
Le follen a la orilla, naufrago a tu lado
Y te miro como el aire acondicionado
En pleno verano
Y es que al final ya me he acostumbrado
A estar siempre cansado (eh)

Ya no me quedan ganas
De levantarme a parar la alarma
Y salir a ver qué tiempo hace esta mañana
Que estoy fuma'o, tira'o en la cama en pijama (eh)

Ha crecido una planta nueva
La riega mi abuela
Le he dicho que es de hierbabuena
Buena pa' olvidarme de
Todas las pelis que no terminamos de ver
Y los planes de futuro que acabaron ayer

Una calada, dos caladas, tres caladas
Y el elefante se balanceaba
Y como veía que no caía
Fue a darle otra calada

Una calada, dos caladas, tres caladas
Y el elefante se balanceaba
Y como veía que no caía
Fue a darle otra calada

Pyjama

Yao, yao, yao, yao
Yao, yao, yao, yao, yao, yao
Hmm-hmm, hmm

Je n'ai plus envie
De me lever pour arrêter l'alarme
Et sortir voir quel temps il fait ce matin
Je suis défoncé, allongé dans le lit en pyjama (eh)
Je n'ai plus envie
De me lever pour arrêter l'alarme
Et sortir voir quel temps il fait ce matin
Je suis défoncé, allongé dans le lit en pyjama (eh)

Je rêve que je frappe mon patron
Je t'appellerais, mais je n'en ai pas envie
Tout ce que tu arroses, fleurit
Mais ça se noie si tu le fais trop souvent

Et elle me le jetait à la lampe de Pixar
Avec un leggings, en mode cycliste
Je ne me levais pas même pour aller chercher la pizza
Et maintenant, j'ai plus peur de ça que de retourner chez le dentiste

Et tous avec des baskets, tu brilles
Et tu me donnes tellement de nostalgie
Que je retourne à Majorque et ce n'est pas aussi bleu
Je leur dis de foutre le camp de la plage, je fais naufrage à tes côtés
Et je te regarde comme la climatisation
En plein été
Et c'est que finalement, je me suis habitué
A être toujours fatigué (eh)

Je n'ai plus envie
De me lever pour arrêter l'alarme
Et sortir voir quel temps il fait ce matin
Je suis défoncé, allongé dans le lit en pyjama (eh)

Une nouvelle plante a poussé
Ma grand-mère l'arrose
Je lui ai dit que c'est de la menthe verte
Bon pour oublier
Tous les films qu'on n'a pas fini de regarder
Et les projets d'avenir qui se sont terminés hier

Une bouffée, deux bouffées, trois bouffées
Et l'éléphant se balançait
Et comme il voyait qu'il ne tombait pas
Il est allé lui donner une autre bouffée

Une bouffée, deux bouffées, trois bouffées
Et l'éléphant se balançait
Et comme il voyait qu'il ne tombait pas
Il est allé lui donner une autre bouffée