Текст и перевод песни Marco Antonio Solís - Mi Último Adiós

Mi Último Adiós

He venido desde allá
Donde la necesidad
Te endurece el corazón
Reclamando la razón
Donde hay mentes que exterminan
Palabras que contaminan
Para siempre una ilusión.
Hoy aquí bajo este sol
Otro aire otro país
Donde mucho tiempo atrás
Fue mi origen, mi raíz
Mas también y por desgracia
Me enfrento a la burocracia
Que me hace la vida gris.
Mas caminare con buena voluntad
Y con amor dando siempre lo mejor
Entre hermanos de esperanza
Cobijados de confianza
Calmaremos el dolor.
Y luchare
Nadie lo puede evitar
Y mi intención la conoce solo Dios
Que mis hijos mas pequeños
Vean realidad mis sueños
Después de mi ultimo adiós.
(Hablado:)
"Pregunte un día al cielo
Cuantos caminos existen
Para encontrar por los mios
Un pedacito de suelo
Donde podamos llenarnos de calor
Y de alegrías. Donde podamos ser
Algo, algo mas que fantasías
Mas el cielo no esta lejos
Como antes lo pensaba
Lo descubrí en ese viento
Que adelante me llevaba
Pues si fui por mil caminos
Y al no perder el aliento
Supe entre mis sentimientos
Que era Dios el que soplaba.

Mon dernier adieu

Je suis venu de là-bas
Où la nécessité
Endurcit ton cœur
Réclamant la raison
Où il y a des esprits qui exterminent
Des mots qui contaminent
Pour toujours une illusion.
Aujourd'hui, ici, sous ce soleil
Un autre air, un autre pays
Où, il y a longtemps
Était mon origine, ma racine
Mais aussi, et malheureusement
Je fais face à la bureaucratie
Qui me rend la vie grise.
Mais je marcherai avec bonne volonté
Et avec amour, donnant toujours le meilleur
Parmi les frères d'espoir
Abrités par la confiance
Nous calmerons la douleur.
Et je lutterai
Personne ne peut l'éviter
Et mon intention, seul Dieu la connaît
Que mes enfants les plus jeunes
Voyent mes rêves devenir réalité
Après mon dernier adieu.
(Parlé:)
"J'ai demandé un jour au ciel
Combien de chemins il existe
Pour trouver pour les miens
Un petit morceau de terre
Où nous pourrons nous remplir de chaleur
Et de joie. Où nous pourrons être
Quelque chose, quelque chose de plus que des fantasmes
Mais le ciel n'est pas loin
Comme je le pensais avant
Je l'ai découvert dans ce vent
Qui me poussait en avant
Car si j'ai parcouru mille chemins
Et sans perdre mon souffle
J'ai su, parmi mes sentiments
Que c'était Dieu qui soufflait.