Текст и перевод песни Mario "El Cachorro" Delgado - El Juego Final (Pancho Arce)

El Juego Final (Pancho Arce)

Entre pancho y pancho se hace un alboroto
Porque matar al artista ya se pasaron de lanza
Porque mataron al 4
Que no se supone que estaba en su casa
Tambien al compa barajas lo trozaron a la gacha
El virus esta ofendido andan bien encendido
Rodadan calacas
Con su uniforme de soccer prefirieron enfrentarlo
Porque mejor no le entraron andando
De cuervo y su cuerno terciado
Sera que sintieron frio aunque corria el mes de octubre
Ahora con el quinto mes vastar al reves sentiran la lumbre
Pariente pues me hubiera gustado en vida
Pero como no se pudo hay le va su corrido
Con su compa
MARIO EL CACHORRO DELGADO
Viejo adonde se encuentra pariente
Palabras de pancho arce que a mi me toco soñar
Cuidate pelon hermano ya ves que dondequiera nos puede llegar
Mi querido compadron de los jefes el mejor
Lo espero aca donde me encuentro
Pa echar vasilaras al modo viejon
De frente siempre adelante el cobardes bien combatido
No le gustaba el empate era como un guerrero romano aguerrido
Nunca te van a olvidar los antrax en culiacan
Tu equipo sigue jugando aunque tu ya jugaste
El juego final

Le Jeu Final (Pancho Arce)

Entre Pancho et Pancho, il y a du remue-ménage
Parce qu'ils ont été trop loin en tuant l'artiste
Parce qu'ils ont tué le n°4
Qui n'était pas censé être chez lui
Ils ont aussi haché le compadre Barajas
Le virus est offensé, ils sont bien en colère
Ils font rouler des crânes
Ils ont préféré l'affronter avec leur uniforme de foot
Pourquoi ne se sont-ils pas approchés en marchant
Avec le corbeau et sa corne tordue
Est-ce qu'ils ont eu froid, même s'il faisait octobre ?
Maintenant, avec le cinquième mois, ils sentiront le feu à l'envers
Mon cousin, j'aurais aimé être là avec toi de mon vivant
Mais comme ce n'était pas possible, voilà ton corrido
Avec ton compadre
MARIO EL CACHORRO DELGADO
Mon vieux, où te trouves-tu ?
Les mots de Pancho Arce que j'ai rêvé de dire
Prends soin de toi, mon frère chauve, tu vois que ça peut arriver partout
Mon cher compadre, le meilleur des chefs
Je t'attends là où je me trouve
Pour rigoler comme au bon vieux temps
Toujours de face, toujours en avant, les lâches bien combattus
Il n'aimait pas les matchs nuls, il était comme un guerrier romain, courageux
Les Antrax de Culiacán ne t'oublieront jamais
Ton équipe continue de jouer même si tu as déjà joué
Le jeu final