Текст и перевод песни Mário Luis - 17 de Febrero

17 de Febrero

17 de febrero, son las 15 con 40
Hora y fecha del deceso de mi corazón,
Aturdido por el ruido
No escuché bien el mensaje
De su bello corazón.
Fue mi amiga y solo Dios sabe que nunca quise herirla
Pero inevitablemente me pasó,
Imposible al resistirme
Y entre llanto confesé que me moría por su amor.
Que me perdone pero ya no aguanto
Escuchar que como hermanos Dios nos quiso,
Ya no puedo darle marcha atrás
A este sentimiento sin morir en el camino.

Que estúpido creí que sentías lo mismo,
Que tonto fui al pensar que podrías enamorarte de tu amigo,
De este idiota que aconseja cuando ve a tu corazón herido.
Dios arráncame la vida, total me estoy muriendo,
Total ya no la tengo, llévame contigo,
Desde el cielo seré el guardián de sus sueños.

Desde hoy dedico mi vida a morirme
Porque no me gusta lo que soy sin vos,
Tan profunda es esta herida que me deja tu partida,
Para que seguir viviendo, perdóname no es culpa tuya,
No quisiste hacerme daño, eso me lo inventé yo.
Que maldito ese momento en que pensé que tú eras mía,
Te juro que no lo entiendo.

Que estúpido creí que sentías lo mismo,
Que tonto fui al pensar que podrías enamorarte de tu amigo,
De este idiota que aconseja cuando ve a tu corazón herido.
Dios arráncame la vida, total me estoy muriendo,
Total ya no la tengo, llévame contigo,
Desde el cielo seré el guardián de sus sueños.

Fallecí un día de febrero como a las 15.40 por tu amor.
Dios mío arráncame la vida.

17 février

Le 17 février, il est 15h40
L'heure et la date du décès de mon cœur,
Assourdi par le bruit
Je n'ai pas bien entendu le message
De ton beau cœur.
Tu étais mon amie et seul Dieu sait que je n'ai jamais voulu te blesser
Mais inévitablement, cela m'est arrivé,
Impossible de résister
Et en pleurant, j'ai avoué que je mourais d'amour pour toi.
Que tu me pardonnes, mais je ne peux plus supporter
D'entendre que Dieu nous a voulu comme frères,
Je ne peux plus revenir en arrière
Sur ce sentiment sans mourir en chemin.

Comme j'étais stupide de penser que tu ressentais la même chose,
Comme j'étais idiot de penser que tu pourrais tomber amoureuse de ton ami,
De cet idiot qui conseille quand il voit ton cœur blessé.
Dieu, arrache-moi la vie, de toute façon je suis en train de mourir,
De toute façon, je ne l'ai plus, emmène-moi avec toi,
Du ciel, je serai le gardien de tes rêves.

À partir d'aujourd'hui, je consacre ma vie à mourir
Parce que je n'aime pas ce que je suis sans toi,
Si profonde est cette blessure que me laisse ton départ,
Pour quoi continuer à vivre, pardonne-moi, ce n'est pas de ta faute,
Tu n'as pas voulu me faire de mal, je me suis inventé ça.
Quel moment maudit où j'ai pensé que tu étais à moi,
Je te jure que je ne comprends pas.

Comme j'étais stupide de penser que tu ressentais la même chose,
Comme j'étais idiot de penser que tu pourrais tomber amoureuse de ton ami,
De cet idiot qui conseille quand il voit ton cœur blessé.
Dieu, arrache-moi la vie, de toute façon je suis en train de mourir,
De toute façon, je ne l'ai plus, emmène-moi avec toi,
Du ciel, je serai le gardien de tes rêves.

Je suis mort un jour de février vers 15h40 par amour pour toi.
Mon Dieu, arrache-moi la vie.