Текст и перевод песни Mark Kozelek - Church of the Pines

Church of the Pines

Spring, spring... flowers blossom and bloom
Squirrel, squirrel... jump down onto my roof
Sparrow, Cardinal, hummingbird
Redwood, holly tree, juniper.

The service moves slowly through the hills
Faint sound of the highway
Night sets on the church of pines
Ending the day, they laid down to rest

From my room, I look at the street
And see the youths passing along
While I unwind, head in a song
And in my bed, I play the guitar
I loosen the strings till I find a tone
And if it don't come... then I put it down

Howl, howl... dogs of the neighborhood
Moon glow, over the gravestones
Dense vines, strangle the black oaks
The lamp light, the fallen fence posts
The sun rises over the tree line.
With welcoming morning light
Day sets on the church of pines
One day we'll all... be laid to rest

From the hills I look up at stars
And feel the darkness swell like a bruise
And in my head, I'm playing with words
I scramble and strain to find the right ones
Sometimes there are none
Sometimes they don't come

Église des pins

Printemps, printemps... les fleurs s'épanouissent et fleurissent
Écureuil, écureuil... saute sur mon toit
Moineau, cardinal, colibri
Séquoia, houx, genévrier.

Le service avance lentement à travers les collines
Faible son de l'autoroute
La nuit s'abat sur l'église des pins
Finissant la journée, ils se sont couchés pour se reposer

De ma chambre, je regarde la rue
Et je vois les jeunes passer
Alors que je me détends, la tête dans une chanson
Et dans mon lit, je joue de la guitare
J'affaiblis les cordes jusqu'à ce que je trouve un son
Et si ça ne vient pas... alors je la pose

Hurlement, hurlement... chiens du quartier
Lueur de la lune, au-dessus des pierres tombales
Vignes denses, étranglent les chênes noirs
La lumière de la lampe, les poteaux de clôture tombés
Le soleil se lève au-dessus de la ligne des arbres.
Avec la lumière du matin accueillante
Le jour se couche sur l'église des pins
Un jour, nous serons tous... mis en terre

Des collines, je lève les yeux vers les étoiles
Et je sens les ténèbres gonfler comme une meurtrissure
Et dans ma tête, je joue avec les mots
Je me débat et je lutte pour trouver les bons
Parfois il n'y en a pas
Parfois ils ne viennent pas