Текст и перевод песни MARKUL - Blues

Blues

Время, забери меня туда -
В дом, где жил лет семь назад.
Приплыл с другого берега,
А стал кем думал, быть нельзя.
Как бы не так,
Каждый свой шаг я чувствую страх.
И ты не объяснишься за еб*ный сдвиг.
Всё как хотел, но как-то не так.
Почему я постоянно недоволен,
И кто все эти люди в коридоре?
Я вроде свободен, но не твой.
В[О]ля, перестань делать то,
Что в итоге покалечит нас всех.
Я тут схожу с ума. Мне так тесно в стенах.
Как убрать всю эту грязь со своей головы?
Взвесил всё на весах - у нас дорога одна,
Ведь я с детства с разной дрянью был всегда на ты.
Что ты хочешь, - у нас дома целый кейс.
Ты сказала, что я милый? Не ведись на babyface.
Найти новых ощущений здесь практически никак,
Я каждый день скрываюсь от панических атак.
Проблемы накрывают нас всех. Затем мы ищем выход во сне.
Мы сутками кричали на всю. Я соткан из печали, как blues.
Проблемы накрывают нас всех. Зачем мы ищем выход во сне?
Мы сутками кричали на всю. Я соткан из печали, как blues.
Время тик-так. Одиночество мой символ.
Мне нужен знак или сигнал. В джунглях потерянный Симба.
Меня тошнит от улыбок. Эй, здесь всех волнует лишь прибыль.
Не называй меня брат, пол года назад мне братом не ты был.
Я не знаю, где дом, я не вижу семью.
Шатаюсь всю ночь у тебя на виду.
Не тусуюсь один, ненавижу толпу.
Не уверен в себе, и никого не люблю.
Я снова перебрал, снова завязал.
Жизни череда ошибок рядом.
Вечно шум и гам, смех то тут, то там,
Но и я на отшибе от всех.
Пойми меня правильно, -
Мы не тем увлекаемся на дне.
Поверь, в душе вечно паника.
Но мы вместе останемся гореть;
Апрель.
Что ты хочешь, - у нас дома целый кейс.
Ты сказала, что я милый? Не ведись на babyface.
Найти новых ощущений здесь практически никак,
Я каждый день скрываюсь от панических атак.
Проблемы накрывают нас всех. Затем мы ищем выход во сне.
Мы сутками кричали на всю. Я соткан из печали, как blues.
Проблемы накрывают нас всех. Зачем мы ищем выход во сне?
Мы сутками кричали на всю. Я соткан из печали, как blues.

Blues

Temps, emmène-moi là-bas -
Dans la maison où j'ai vécu il y a sept ans.
Je suis arrivé de l'autre côté,
Mais je suis devenu quelqu'un que je ne pouvais pas être.
Pas du tout,
Je sens la peur à chaque pas que je fais.
Et tu ne peux pas t'expliquer pour ce putain de changement.
Tout comme je le voulais, mais en quelque sorte pas comme ça.
Pourquoi suis-je constamment mécontent,
Et qui sont toutes ces personnes dans le couloir ?
Je suis apparemment libre, mais pas le tien.
Volonté, arrête de faire ce qui,
En fin de compte, nous mutilera tous.
Je deviens fou ici. Je me sens tellement à l'étroit dans les murs.
Comment enlever toute cette saleté de ma tête ?
J'ai tout pesé sur la balance - nous avons un seul chemin,
Parce que depuis mon enfance, j'ai toujours été familier avec toutes sortes de saletés.
Ce que tu veux, - nous avons un étui plein à la maison.
Tu as dit que j'étais mignon ? Ne te fais pas avoir par le babyface.
Trouver de nouvelles sensations ici est presque impossible,
Chaque jour, je me cache des attaques de panique.
Les problèmes nous submergent tous. Ensuite, nous cherchons une échappatoire dans le sommeil.
Nous avons crié à tue-tête pendant des jours. Je suis tissé de tristesse, comme du blues.
Les problèmes nous submergent tous. Pourquoi cherchons-nous une échappatoire dans le sommeil ?
Nous avons crié à tue-tête pendant des jours. Je suis tissé de tristesse, comme du blues.
Le temps tic-tac. La solitude est mon symbole.
J'ai besoin d'un signe ou d'un signal. Simba perdu dans la jungle.
J'ai envie de vomir des sourires. Hé, ici, tout le monde ne se soucie que du profit.
Ne m'appelle pas frère, il y a six mois, tu n'étais pas mon frère.
Je ne sais pas où est ma maison, je ne vois pas ma famille.
Je erre toute la nuit sous tes yeux.
Je ne traîne pas seul, je déteste la foule.
Je n'ai pas confiance en moi, et je n'aime personne.
J'ai recommencé à boire, j'ai recommencé à arrêter.
Une série d'erreurs de vie à côté.
Toujours du bruit et des cris, des rires ici et là,
Mais moi aussi, je suis à l'écart de tout le monde.
Comprends-moi bien -
Nous ne sommes pas attirés par la même chose au fond.
Crois-moi, dans mon âme, c'est toujours la panique.
Mais nous resterons ensemble à brûler ;
Avril.
Ce que tu veux, - nous avons un étui plein à la maison.
Tu as dit que j'étais mignon ? Ne te fais pas avoir par le babyface.
Trouver de nouvelles sensations ici est presque impossible,
Chaque jour, je me cache des attaques de panique.
Les problèmes nous submergent tous. Ensuite, nous cherchons une échappatoire dans le sommeil.
Nous avons crié à tue-tête pendant des jours. Je suis tissé de tristesse, comme du blues.
Les problèmes nous submergent tous. Pourquoi cherchons-nous une échappatoire dans le sommeil ?
Nous avons crié à tue-tête pendant des jours. Je suis tissé de tristesse, comme du blues.