Текст и перевод песни Martin Luke Brown - 65 Roses

65 Roses

I still spell your name in the city lights
I still hear your joy in my dreams
It′s only when I wake from the place I escape
That I start to sew back the seams
And it terrifies me you have to leave
Before I even told you what you mean
But I still taste the highs from my brighter days
I still feel the rush through my bones
It's only when I rise in the morning light
That the feeling has to go
And though I′m not broken, I will never be the same
Since you were taken higher up
And although I'm healing, I will always hold a piece of you behind my eyes
65 roses on my mind
I still reenact how we used to be
I still laugh to hide, like a child
It's only when I′m still in the dead of the dark
That I forget to smile
And though I′m not broken, I will never be the same
Since you were taken higher up
And although I'm healing, I will always hold a piece of you behind my eyes
65 roses on my mind, oh no

65 Roses

Je continue à épeler ton nom dans les lumières de la ville
J'entends encore ta joie dans mes rêves
Ce n'est que lorsque je sors de l'endroit où je m'échappe
Que je commence à recoudre les coutures
Et ça me terrifie qu'il faille que tu partes
Avant même que je ne t'aie dit ce que tu représentes
Mais je ressens encore les moments forts de mes jours les plus brillants
Je ressens toujours l'adrénaline dans mes os
Ce n'est que lorsque je me lève à la lumière du matin
Que le sentiment doit s'en aller
Et bien que je ne sois pas brisé, je ne serai plus jamais le même
Depuis qu'on t'a pris plus haut
Et bien que je guérisse, je garderai toujours un morceau de toi au fond de mes yeux
65 roses dans ma tête
Je continue à rejouer comment nous étions
Je continue à rire pour me cacher, comme un enfant
Ce n'est que lorsque je suis encore dans le noir absolu
Que j'oublie de sourire
Et bien que je ne sois pas brisé, je ne serai plus jamais le même
Depuis qu'on t'a pris plus haut
Et bien que je guérisse, je garderai toujours un morceau de toi au fond de mes yeux
65 roses dans ma tête, oh non