Текст и перевод песни Martin Urieta - Compréndala

Compréndala

Discúlpeme señor se lo suplico
Si llegan a ofenderlo mis consejos
Con darle mi opinión, nada le quito
Al fin usted es dueño de sus besos

Usted la conquisto muy a la buena
Mi amor esta en el fondo del olvido
Que gano con luchar, aunque la quiera
Yo se reconocer, cuando he perdido

Y si despierta, diciendo que se siente incomprendida
Oyéndole su plática aburrida
Compréndala señor, es culpa mía
Pues yo, cuando en mis brazos la tenía
Con versos y canciones la dormía

Y si despierta, llorando por allá en la madrugada
Quejándose del rose de su almohada
Compréndala señor, esta mimada
Pues yo, que con locura la adoraba
En pétalos de rosa la acostaba

Y si despierta, llorando por allá en la madrugada
Quejándose del rose de su almohada
Compréndala señor, esta mimada
Pues yo, que con locura la adoraba
En pétalos de rosa la acostaba

Y si despierta, llorando por allá en la madrugada
Quejándose del rose de su almohada
Compréndala señor, esta mimada
Pues yo, que con locura la adoraba
En pétalos de rosa la acostaba

Comprenez-la

Excusez-moi monsieur je vous en supplie
Si je vous offense avec mes conseils
En vous donnant mon avis, je ne vous enlève rien
Finalement, vous êtes maître de vos baisers

Vous l'avez conquise très gentiment
Mon amour est au fond de l'oubli
Que gagnerais-je à lutter, même si je l'aime
Je sais reconnaître ma défaite

Et si elle se réveille, en disant qu'elle se sent incomprise
En écoutant ses discours ennuyeux
Comprenez-la monsieur, c'est de ma faute
Car moi, quand je la tenais dans mes bras
Je l'endormais avec des vers et des chansons

Et si elle se réveille, en pleurant dans la nuit
Se plaignant du frôlement de son oreiller
Comprenez-la monsieur, elle est gâtée
Car moi, qui l'adorais follement
Je la couchais sur des pétales de roses

Et si elle se réveille, en pleurant dans la nuit
Se plaignant du frôlement de son oreiller
Comprenez-la monsieur, elle est gâtée
Car moi, qui l'adorais follement
Je la couchais sur des pétales de roses

Et si elle se réveille, en pleurant dans la nuit
Se plaignant du frôlement de son oreiller
Comprenez-la monsieur, elle est gâtée
Car moi, qui l'adorais follement
Je la couchais sur des pétales de roses