Текст и перевод песни Max Prosa - Donnerschlag

Donnerschlag

Die Sonne scheint auf eine gut gelaunte Stadt
Die Menschen friedlich, ihre Münder satt
Sie tun das, was sie an allen Tagen tun
Bis jemand fragt: "War das ein Donnerschlag?"

Doch nichts geschieht und alle fangen wieder an
Ein jeder tut was er nicht lassen kann
Und niemand glaubt dem Forscher mit dem Megafon
Bis jemand fragt: "war das ein Donnerschlag?"
Bis jemand sagt: "das war ein Donnerschlag!"

Und jetzt laufen sie und laufen
Oh, sie lassen alles fallen
Die Gefangenen brechen aus
Und sie sagen was sie denken
Was sie sich noch sagen wollten
Oh, sie rufen es frei hinaus
Und sie halten fremde Hände
Oh, sie weinen fremde Tränen
Und sie hören einander zu
Und als alles dann vorbei ist
Liegen sie sich in den Armen
Und kommen wieder neu zur Ruh′.

Die Sonne scheint auf eine ewig ruhende Stadt
In der ein jeder seine Pflichten hat
Und gern so tut als ob er es ganz anders will
Bis jemand fragt: "war das ein Donnerschlag?"
Bis jemand sagt: "das war ein Donnerschlag!"

Und jetzt laufen sie und laufen
Oh, sie lassen alles fallen
Die Gefangenen brechen aus
Und sie sagen was sie denken
Was sie sich noch sagen wollten
Oh, sie rufen es frei hinaus
Und sie halten fremde Hände
Oh, sie weinen fremde Tränen
Und sie hören einander zu
Und als alles dann vorbei ist
Liegen sie sich in den Armen
Und kommen wieder neu zur Ruh'

Die Sonne scheint auf eine gut gelaunte Stadt
Bis jemand fragt: "war das ein Donnerschlag?"

Coup de tonnerre

Le soleil brille sur une ville de bonne humeur
Les gens sont paisibles, leurs bouches sont repues
Ils font ce qu'ils font tous les jours
Jusqu'à ce que quelqu'un demande : "Était-ce un coup de tonnerre ?"

Mais rien ne se passe et tout le monde recommence
Chacun fait ce qu'il ne peut pas laisser de côté
Et personne ne croit le chercheur avec le mégaphone
Jusqu'à ce que quelqu'un demande : "Était-ce un coup de tonnerre ?"
Jusqu'à ce que quelqu'un dise : "C'était un coup de tonnerre !"

Et maintenant ils courent et courent
Oh, ils lâchent tout
Les prisonniers s'échappent
Et ils disent ce qu'ils pensent
Ce qu'ils voulaient encore se dire
Oh, ils le crient à tue-tête
Et ils tiennent des mains étrangères
Oh, ils pleurent des larmes étrangères
Et ils s'écoutent les uns les autres
Et quand tout est fini
Ils se tiennent dans les bras l'un de l'autre
Et retrouvent le calme.

Le soleil brille sur une ville éternellement tranquille
Où chacun a ses devoirs
Et fait semblant d'aimer ça, comme si c'était différent
Jusqu'à ce que quelqu'un demande : "Était-ce un coup de tonnerre ?"
Jusqu'à ce que quelqu'un dise : "C'était un coup de tonnerre !"

Et maintenant ils courent et courent
Oh, ils lâchent tout
Les prisonniers s'échappent
Et ils disent ce qu'ils pensent
Ce qu'ils voulaient encore se dire
Oh, ils le crient à tue-tête
Et ils tiennent des mains étrangères
Oh, ils pleurent des larmes étrangères
Et ils s'écoutent les uns les autres
Et quand tout est fini
Ils se tiennent dans les bras l'un de l'autre
Et retrouvent le calme.

Le soleil brille sur une ville de bonne humeur
Jusqu'à ce que quelqu'un demande : "Était-ce un coup de tonnerre ?"