Текст и перевод песни Maxime Le Forestier - Le juge et la blonde (Live)

Le juge et la blonde (Live)

Le juge est parti fumer sa blonde hors du palais.
Sur les marches, il se dit qu'il est bien laid
Ce coupable d'avoir éclaboussé d'essence
Celle qui lui enflammait les sens et jeté l'étincelle.

N'allez pas frôler l'indécence, épargnez-moi l'incandescence.
Les souvenirs carbonisés, les abandons passés, la la la la la la la...

"Décidément, les horreurs du monde ne me quittent pas!"
Se dit-il en marchant à petits pas.
Et, ce faisant, voluptueusement, il hume
Cette blonde qui se consume et l'emmène avec elle

Dans des lèvres incandescentes, dans des volutes indécentes
Des souvenirs carbonisés, des abandons passés, la la la la la la la...

Les petits plaisirs, les grands bonheurs finissent en cendres.
D'un mégot, que pourrait-on bien attendre?
Comme il ne faudrait pas que le palais s'embrase
Le juge, du bout du pied, l'écrase et retourne juger.

Des lèvres incandescentes, des volutes indécentes
Des souvenirs carbonisés, des abandons passés, la la la la la la la.

The Judge and the Blonde (Live)

The judge went outside the courthouse to smoke his blonde.
On the steps, he thinks to himself what an ugly person he is,
This culprit who splashed gasoline on
The one who ignited his senses and threw the spark.

Don't come near something indecent, spare me the incandescent.
The charred memories, the past abandonments, la la la la la la...

"Decidedly, the horrors of the world will never leave me!"
He tells himself as he walks with small steps.
In doing so, voluptuously, he inhales
This blonde who consumes herself and takes him with her

Into incandescent lips, into indecent volutes
Of charred memories, of past abandonments, la la la la la...

The little pleasures, the great joys end up in ashes.
From a butt, what could one possibly expect?
Since he shouldn't let the court catch fire,
The judge crush it with the tip of his toe and returns to judge.

Of incandescent lips, of indecent volutes
Of charred memories, of past abandonments, la la la la la...