Текст и перевод песни Maxime Le Forestier - Mon Frère (Live)

Mon Frère (Live)

Paroles et musique: Maxime Le Forestier
© Éditions Chappell
1
Toi le frère que je n'ai jamais eu
Sais-tu si tu avais vécu
Ce que nous aurions fait ensemble
Un an après moi tu serais né
Alors on n'se serait plus quittés
Comme deux amis qui se ressemb
Lent
On aurait appris l'argot par coeur
J'aurais été ton professeur
À mon école buissonnière
Sûr qu'un jour on se serait battus
Pour peu qu'alors on ait connu
Ensemble la même première.
R
Mais tu n'es pas là
À qui la faute
Pas à mon père
Pas à ma
Mère
Tu aurais pu chanter cela

2
Toi le frère que je n'ai jamais eu
Si tu savais ce que j'ai bu
De mes chagrins en solitaire
Si tu ne m'avais pas fait faux-bond
Tu aurais fini mes chansons
Je t'aurais appris à en faire
Si la vie s'était comportée
Mieux
Elle aurait divisé en deux
Les paires de gants
Les paires de claques
Elle aurait sûrement partagé
Les mots d'amour et les pavés
Les filles et les coups de matraque.
3
Toi le frère que je n'aurai jamais
Je suis moins seul de t'avoir fait
Pour
Un instant pour une fille
Je t'ai dérangé tu me pardonnes
Ici quand tout vous abandonne
On se fabrique une famille.

My Brother (Live)

Lyrics and music: Maxime Le Forestier
© Chappell Editions
1
You, the brother I never had
Do you know if you had lived
What we would have done together
A year after me, you would have been born
Then we would have been inseparable
Like two friends who look alike
Slow
We would have learned slang by heart
I would have been your teacher
At my truant school
Sure we would have had a fight one day
If only we had known
The same elementary school together.
R
But you're not here
Whose fault is it
Not my father's
Not my
Mother's
You could have sung that

2
You, the brother I never had
If you knew what I had drunk
Of my sorrows in solitude
If you hadn't let me down
You would have finished my songs
I would have taught you how to write them
If life had behaved
Better
She would have divided in two
The pairs of gloves
The pairs of slaps
She would surely have shared
The love words and the cobblestones
The girls and the blows from the truncheon.
3
You, the brother I will never have
I am less lonely for having made you
For
A moment for a girl
I disturbed you, forgive me
Here, when everything abandons you
One makes oneself a family.