Текст и перевод песни Mayol - Elle vendait des petits gâteaux

Elle vendait des petits gâteaux

Elle était pâtissière,
Dans la rue du Croissant,
Ses gentilles petites manières,
Attiraient les clients,
On aimait à l'extrême,
Ses yeux de puits d'amour,
Sa peau douce comme la crème,
Et sa bouche, un petit four,
Et du soir au matin,
Dans son petit magasin
Elle vendait des petits gâteaux,
Qu'elle pliait bien comme il faut,
Dans un joli papier blanc,
Entouré d'un petit ruban,
En servant tous ses clients,
Elle se trémoussait bien gentillement,
Fallait voir comme elle vendait,
Ses petites brioches au lait.
Un jour dans sa boutique,
Un vieux monsieur entra,
D'un petit coup oblique,
Vite, il la remarqua,
Pour parler à la belle,
Il choisit des bonbons,
"Donnez-moi, Mademoiselle,
Un cornet de marrons",
Et d'un petitit air malin,
Il en prit deux dans sa main
Elle vendait des petits gâteaux,
Qu'elle pliait bien comme il faut,
Dans un joli papier blanc,
Entouré d'un petit ruban,
"Je vous offre", dit-il "mon coco",
"Des marrons et mon cœur chaud",
"Cœur chaud", dit-elle, "vous l'avez,
"Mais les marrons sont glacés"
Il s'assit à une table,
Pour manger un petit choux,
Elle se montra aimable,
Elle offrit un peut de tout,
Puis insista, coquette,
Pour qu'il prit du nougat,
Mais lui, hocahnt la tête,
Tristement répliqua,
"A mon âge, voyez-vous,
J'prends plus qu'du caramel mou"
Elle vendait des petits gâteaux,
Qu'elle pliait bien comme il faut,
Dans un joli papier blanc,
Entouré d'un petit ruban,
Le vieux lui faisait les yeux blancs,
Il sauçait en tremblottant,
Dans un verre d'eau et d'orgeat,
Une toute petite langue de chat
Y avait trois heures passées,
Qu'il était assis là
Elle pensait, énervé.
Il ne partira pas,
Ne sachant plus que faire
Pour le déviser du sol,
Elle lui dit, en colère,
"Mangez ces croquignolles",
Il répond, d'un ton sec,
"Je n'aime pas les gâteaux secs"
Ah non,
Elle vendait des petits gâteaux,
Qu'elle pliait bien comme il fait,
Dans un joli papier blanc,
Entouré d'un petit ruban,
Elle lui dit, d'un petit air doux,
"Ben, mon cher monsieur, si vous
N'aimez pas les gâteaux secs,
Mangez donc de la merde avec".

She Sells Pastries

She made pastries,
In Rue du Croissant,
Her kind little ways,
Attracted customers,
They loved her immensely,
Her eyes, like a well of love,
Her skin like soft cream,
Her mouth, a little oven,
And from dusk till dawn,
In her little shop
She sold pastries,
Which she folded well,
In beautiful white paper,
Tied with a little ribbon,
As she served her customers,
She would wiggle ever so sweetly,
You should have seen how she sold,
Her little milk buns.
One day, an old gentleman
Entered her shop
And glancing sideways,
He quickly noticed her.
To speak to the beauty,
He chose some candies.
"Give me, Mademoiselle,
A cone of chestnuts".
And with a little sly grin,
He took two in his hand.
She sold pastries,
Which she folded well,
In beautiful white paper,
Tied with a little ribbon.
"I'll give you," he said, "my dear,
"Chestnuts, and my warm heart".
"A warm heart," she said, "you have it,
"But the chestnuts are candied.".
He sat down at a table,
To eat a little cream puff,
She was so kind,
She offered him a little of everything,
Then insisted, flirtatiously,
That he try some nougat,
But he, shaking his head,
Replied sadly,
"At my age, you see,
I only eat soft caramel.".
She sold pastries,
Which she folded well,
In beautiful white paper,
Tied with a little ribbon.
The old man gazed at her with lust,
He dipped, trembling,
A tiny cat's tongue
Into a glass of barley water.
Three hours had passed,
Since he had sat down,
She was getting annoyed,
He wouldn't leave.
Not knowing what else to do,
To get rid of him,
She said angrily,
"Eat these biscuits,".
He replied sharply,
"I don't like dry pastries.".
Oh no,
She sold pastries,
Which she folded well,
In beautiful white paper,
Tied with a little ribbon.
She said to him, in a sweet voice,
"Well, my dear sir, if you
Don't like dry pastries,
Then eat some shit, you twat.