Текст и перевод песни Medina Azahara - Lo Que Me Estoy Perdiendo

Lo Que Me Estoy Perdiendo

(1) a veces siento que el tiempo pasa
Y yo me lo estoy perdiendo,
Y sólo pienso que aquellos sueños
Me los ha robado el tiempo
Aquellos sueños que yo tenía
Se perdieron en tus besos

Pasan los días, y voy perdiendo
Los segundos en silencio.
Se van muriéndo, cómo las flores
Cuando llega el frío invierno.
Sólo me queda las ilusiones
Que voy guardando
En el fondo de mi pecho.

(2) olvídate de mí, olvídate de mí
De todo lo que fuí,
No quiero verte, no quiero verte
Y sin embargo sin tí no puedo vivir
Olvídate de mí
Ya no soy el que fuí
No quiero verte, no quiero verte
Y sin embargo me muero sin tí.

A veces sueño, con otros mundos
Pero sé que estoy mintiendo
Porque hasta el aire, que yo respiro
Es como si fuera veneno,
Y son tus besos, en mí memoria
Los que me hacen sentir
Lo que estoy perdiendo.

(3) a veces siento, que yo a tu lado
Vivo pero estoy muriéndo
Y es que me falta,
Esa sonrisa que me quitas con tus besos.
Y ya no puedo, seguir mintiendo
Porque mis pasos me llevan a tí corriendo

Ce que je perds

(1) Parfois j'ai l'impression que le temps passe
Et je le perds,
Et je pense seulement que ces rêves
Le temps me les a volés
Ces rêves que j'avais
Se sont perdus dans tes baisers

Les jours passent et je perds
Les secondes dans le silence.
Ils meurent, comme les fleurs
Quand arrive le froid hiver.
Il ne me reste que les illusions
Que je garde
Au fond de mon cœur.

(2) Oublie-moi, oublie-moi
De tout ce que j'étais,
Je ne veux pas te voir, je ne veux pas te voir
Et pourtant sans toi je ne peux pas vivre
Oublie-moi
Je ne suis plus celui que j'étais
Je ne veux pas te voir, je ne veux pas te voir
Et pourtant je meurs sans toi.

Parfois je rêve d'autres mondes
Mais je sais que je mens
Car même l'air que je respire
C'est comme s'il était du poison,
Et ce sont tes baisers, dans ma mémoire
Qui me font sentir
Ce que je perds.

(3) Parfois j'ai l'impression, que à tes côtés
Je vis mais je meurs
Et il me manque,
Ce sourire que tu m'enlèves avec tes baisers.
Et je ne peux plus, continuer à mentir
Car mes pas me conduisent vers toi en courant