Текст и перевод песни Michal Kwiatkowski - Quelle Belle Espérance

Quelle Belle Espérance

Le nez dans les nuages,
Vivre sans bagages,
Sans passé, sans futur, sans présent,
Ivre d'un murmure,
Voler à sa cage,
Vivre de passage, pour l'instant.

Avec un coquillage,
Ecrire sur la plage,
Une histoire sans début et sans fin.
Juste un point de vue.
Rien que pour la mer.
Une histoire sans terre, sans chemin.

Pour soi, une histoire qui s'efface.
Pour rien qu'un morceau d'âme fugace.
Pourtant, quelle belle espérance.
Pourtant, quelle belle espérance.

Oser tenir le temps
Juste à contre-temps
Sans chercher, sans trouver de réponse
Ivre d'ignorance
Comme une délivrance
Pouvoir se redire qu'on renonce

Pour soi, une histoire qui s'efface.
Pour rien qu'un morceau d'âme fugace.
Et pour se dire je comprends.
Ou pour se dire j'ai le temps.

Pour soi, un silence qu'on défroisse.
Pour rien, rien remettre à sa place.
Pourtant, quelle belle espérance.
Pourtant, quelle belle espérance.

Pour soi, une histoire qui s'efface.
Pour rien qu'un morceau d'âme fugace.
Et pour se dire je comprends.
Ou pour se dire j'ai le temps.

Pour soi ...
Pour rien ...

Pourtant, quelle belle espérance.
Pourtant, quelle belle espérance ...

Such Sweet Hope

With my head in the clouds,
Living without baggage,
Without a past, without a future, without a present,
Intoxicated by a whisper,
Breaking free from its cage,
Living in the moment, only for now.

With a seashell,
Writing on the beach,
A story without a beginning or an end.
Just a point of view.
Just for the sea.
A story without land, without a path.

For oneself, a story that fades away.
For nothing but a fleeting piece of the soul.
Yet, such sweet hope.
Yet, such sweet hope.

Daring to hold back time
Just off the beat
Without seeking, without finding an answer
Intoxicated by ignorance
Like a deliverance
To be able to tell yourself that you give up

For oneself, a story that fades away.
For nothing but a fleeting piece of the soul.
And to tell yourself, I understand.
Or to tell yourself, I have time.

For oneself, a silence that crumples.
For nothing, putting nothing back in its place.
Yet, such sweet hope.
Yet, such sweet hope.

For oneself, a story that fades away.
For nothing but a fleeting piece of the soul.
And to tell yourself, I understand.
Or to tell yourself, I have time.

For oneself ...
For nothing ...

Yet, such sweet hope.
Yet, such sweet hope ...