Текст и перевод песни Michel Sardou - Il était là (le fauteuil) (Live à La Seine Musicale / 2018)

Il était là (le fauteuil) (Live à La Seine Musicale / 2018)

Il était Là (Le Fauteuil)
Paroles Michel Sardou, Pierre Delanoë
Musique Jacques Revaux
Il était là dans ce fauteuil
Mon spectateur du premier jour
Comme un père débordant d'orgueil
Il était là dans ce fauteuil
Mon spectateur du premier jour
Comme un père débordant d'orgueil
Pour celui qui prenait son tour
Il était là dans ce fauteuil
Premier témoin de mes faux pas
Le coeur tremblant comme une feuille
Croyant que je ne savais pas
Il était là sur ma galère
Lieutenant de la providence
M'envoyant des ondes légères
Comme le ciel de sa Provence
Il était là dans ce fauteuil
Qu'il a loué pour l'éternité
Pour m'applaudir du coin de l'oeil
Et de temps en temps rigoler
Petit tu m'as fait bien plaisir
Tu m'as rappelé ton grand-père
Entre ses larmes et son sourire
Il n'y avait pas de frontière
Il était là dans ce fauteuil
Quand j'ai fait ma première grimace
Quand j'ai osé montrer ma gueule
Aux petits copains de ma classe
Plein de pudeur et d'indulgence
Pour la violence de mes passions
Pour cette belle intransigeance
Que suivraient tant de concessions
Il était là dans ce fauteuil
Mon spectateur du premier jour
Comme un père débordant d'orgueil
Pour celui qui prenait son tour
Dans le halo du projecteur
Il vient s'installer tous les soirs
Comme tout autre spectateur
Mais je suis le seul à le voir
Petit tu m'as fait bien plaisir
Tu m'as rappelé ton grand-père
Entre ses larmes et son sourire
Il n'y avait pas de frontière
Il était là dans ce fauteuil
Où mon fils aîné va s'asseoir
Quatre générations l'accueillent
Et il sait déjà qu'un beau soir
Je serai là dans ce fauteuil
Son spectateur du premier jour
Comme un père débordant d'orgueil
Pour celui qui prendra son tour
Petit tu me feras plaisir
Tu me rappelleras ton grand-père
Entre ses larmes et son sourire
Il n'y avait pas de frontière

He Was There (The Armchair) (Live at La Seine Musicale / 2018)

He Was There (The Armchair)
Lyrics by Michel Sardou, Pierre Delanoë
Music by Jacques Revaux
He was there in that armchair
My spectator from the first day
Like a father overflowing with pride
He was there in that armchair
My spectator from the first day
Like a father overflowing with pride
For the one who took his turn
He was there in that armchair
First witness of my missteps
His heart trembling like a leaf
Believing that I did not know
He was there on my galley
Lieutenant of providence
Sending me light waves
Like the sky of his Provence
He was there in that armchair
Which he has rented for eternity
To applaud me out of the corner of his eye
And to laugh from time to time
Little one, you have made me very happy
You reminded me of your grandfather
Between his tears and his smile
There was no boundary
He was there in that armchair
When I made my first grimace
When I dared to show my face
To the little friends of my class
Full of modesty and indulgence
For the violence of my passions
For this beautiful intransigence
That would be followed by so many concessions
He was there in that armchair
My spectator from the first day
Like a father overflowing with pride
For the one who took his turn
In the halo of the spotlight
He comes to sit every night
Like any other spectator
But I am the only one who sees him
Little one, you have made me very happy
You reminded me of your grandfather
Between his tears and his smile
There was no boundary
He was there in that armchair
Where my eldest son will sit
Four generations welcome him
And he already knows that one fine evening
I will be there in that armchair
His spectator from the first day
Like a father overflowing with pride
For the one who will take his turn
Little one, you will make me happy
You will remind me of your grandfather
Between his tears and his smile
There was no boundary