Текст и перевод песни Miguel Bosé - Partisano - feat. Juanes

Partisano - feat. Juanes

Padre, Madre
Un abrazo volveré...
Héroes, causas,
De un poder absurdo...

Guerra, odio
No he entendido bien porqué.
Vivo, muerto,
Por un mundo nuevo...

Me acercaré hasta el valle
Que me vio nacer
Que amarga despedida...

Canto de aceros no quiero matar
último grito de rabia y se va
Que no me llamen cobarde, traidor
Partisano...

Patria y bandera yo os pido perdón
Hoy que deserto me armé de valor
Himno de paz por el hombre que cree
Partisano...

Libre! libre!
Como un águila seré...
Vuelo alto
Que hay un mundo nuevo...

Y llévame hasta el valle
Que me vio nacer
¿Qué niebla es esta amigo?

Canto de aceros no quiero matar
último grito de rabia y se va...
Que no me llamen cobarde traidor
Partisano...

Patria y bandera yo os pido perdón
Hoy que deserto me armé de valor
Himno de paz por el hombre que cree
Partisano...

Lejos de aquí sé que descansaré
Me iré, me iré
Te escribiré mi hermano...

Partisano - feat. Juanes

Père, Mère
Je reviendrai te serrer dans mes bras...
Héros, causes,
D'un pouvoir absurde...

Guerre, haine
Je n'ai pas bien compris pourquoi.
Vivant, mort,
Pour un monde nouveau...

Je m'approcherai de la vallée
Qui m'a vu naître
Quel amer adieu...

Je ne veux pas tuer avec des chants d'acier
Dernier cri de rage et il s'en va
Qu'on ne m'appelle pas lâche, traître
Partisan...

Patrie et drapeau, je vous demande pardon
Aujourd'hui, je déserte, je me suis armé de courage
Hymne de paix pour l'homme qui croit
Partisan...

Libre ! Libre !
Je serai comme un aigle...
Je vole haut
Qu'il y a un monde nouveau...

Et emmène-moi jusqu'à la vallée
Qui m'a vu naître
Quel est ce brouillard, mon ami ?

Je ne veux pas tuer avec des chants d'acier
Dernier cri de rage et il s'en va...
Qu'on ne m'appelle pas lâche, traître
Partisan...

Patrie et drapeau, je vous demande pardon
Aujourd'hui, je déserte, je me suis armé de courage
Hymne de paix pour l'homme qui croit
Partisan...

Loin d'ici, je sais que je me reposerai
Je m'en irai, je m'en irai
Je t'écrirai, mon frère...