Текст и перевод песни Mijares - Un Centavo De Amor

Un Centavo De Amor

Más tristes que la mar, tras el naufragio
Manos queriendo hablar, y el alma no
Se oyen crujir las olas en la noche
Que negro el horizonte de los dos
Faltan estímulos

Como un equilibrista en el alambre
Masco el sabor del miedo en un traspiés
Hay un escalofrío congelado
Bajo el sutil andamio de tu piel
Somos antípodas
Un poco de calma, ¡por Dios!

Tan distante, tan fría, tan bella
Enigmáticamente perfecta
Yo pasando las noches en vela
Vigilando tu respiración

Tan etérea, tan frágil y bella
Como paz al final de una guerra
Yo adorándote igual que a una estrella
Sin recibir de ti, ni un centavo de amor

Ciento cuarenta días de aire limpio
Huésped del paraíso junto a tí
Era como volar en un cometa
Preso de tus caderas de marfil
Juegos hipnóticos
Un poco de calma, ¡por Dios!

Tan distante, tan fría, tan bella
Enigmáticamente perfecta
Yo pasando las noches en vela
Vigilando tu respiración

Tan etérea, tan frágil y bella
Como paz al final de una guerra
Yo adorándote igual que a una estrella
Sin recibir de ti ni un centavo de amor

Tan distante, tan fría, tan bella
Tan distante, tan fría, tú tan bella

Un Centavo De Amor

Plus triste que la mer, après le naufrage
Des mains qui veulent parler, et l'âme ne le peut pas
On entend craquer les vagues dans la nuit
Comme l'horizon est noir pour nous deux
Il manque des stimuli

Comme un funambule sur le fil
Je mâche le goût de la peur dans un faux pas
Il y a un frisson gelé
Sous l'échafaudage subtil de ta peau
Nous sommes des antipodes
Un peu de calme, s'il te plaît !

Si distante, si froide, si belle
Énigmatiquement parfaite
Moi, passant les nuits blanches
À surveiller ta respiration

Si éthérée, si fragile et belle
Comme la paix à la fin d'une guerre
Moi, t'adorant comme une étoile
Sans recevoir de toi, un seul centime d'amour

Cent quarante jours d'air pur
Invité du paradis à tes côtés
C'était comme voler sur une comète
Prisonnier de tes hanches d'ivoire
Jeux hypnotiques
Un peu de calme, s'il te plaît !

Si distante, si froide, si belle
Énigmatiquement parfaite
Moi, passant les nuits blanches
À surveiller ta respiration

Si éthérée, si fragile et belle
Comme la paix à la fin d'une guerre
Moi, t'adorant comme une étoile
Sans recevoir de toi un seul centime d'amour

Si distante, si froide, si belle
Si distante, si froide, toi si belle